Votre tasse (mug) personnalisée au logo de Chasseur de sanglier.com + votre photo perso.
Service à eau de vie 7 pièces :
Glaçons pour whisky :
Chaussons à offrir :
Sangliers : Parenthése importante pour les non-chasseurs qui offrent un cadeau, un sanglier est plus « noble » qu’un cervidé.
Pantoufle sangliers ou cervidés ou oiseaux à plumes :
WINCHESTER Station de Nettoyage Universelle pour Arme d’Épaule.
Décapsuleur en forme de balle.
Portefeuille chasse :
Thermos :
Thermos :
Thermos Rottweil 750 ml.
- Contenance : 750 ml.
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« ALEXA on a besoin d’armes ».
Auteur : Andreas David. Le guide de reconnaissance du promeneur et du pisteur
Identifier la présence d’un animal grâce à des traces, empreintes et autres déjections est un jeu d’enfant si l’on sait les décrypter. C’est vrai pour le promeneur comme pour le chasseur. Depuis la nuit des temps nos lointains ancêtres ont pu chasser et se nourrir grâce à ce savoir, cette connaissance indispensable à leur survie. Aujourd’hui en grande partie et pour la plupart d’entre nous tout ceci s’est perdu. Ce livre a pour but de nous faire recouvrer de façon ludique et vivante le sens des traces laissées par les animaux durant leurs déplacements.
Dans ce livre sont présentées les 50 espèces d’animaux les plus fréquents, grands et petits gibiers, rongeurs, oiseaux :
– Empreintes, traces et laissées ou crottes
– Des tableaux pour déterminer la longueur des pas, comparaisons et différences entre des espèces voisines
– 200 photos, dessins et moulages pour une identification à coup sûr.
50 animaux et leurs cris grâce aux codes QR. Rien de tel pour faire participer des enfants ! Il vous suffit de flasher le QR code avec votre smartphone.
– Des informations complémentaires sur l‘état et la gestion des populations de nos forêts.
Le livre est au format A5, il s’emporte facilement das un sac à dos.
Traces et empreintes d’animaux sauvages: 19,95€. Format A5. 160 pages.
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Encore une bonne idée de cadeau pour Noël : Découvrez de manière originale plus de 1000 définitions cynégétiques à double entrée, alliant l’humour et l’amour de la chasse. Comme le gibier, ce livre se consomme avec modération mais délectation.
Le parler chasse de A à Z» est un dictionnaire humoristique d’un genre particulier : prenant beaucoup de liberté avec les termes techniques, il recense des mots que l’on ne trouverait pas usuellement dans un dictionnaire spécialisé et il accompagne chaque définition d’une explication de texte. A l’exception d’un dictionnaire des chasseurs et des pêcheurs paru en 1965 et introuvable aujourd’hui, personne ne s’est essayé à traiter avec humour le monde cynégétique. La chasse a son langage, ses us et coutumes et il fallait introduire un peu de légèreté et de pédagogie à l’attention de tous ceux curieux de découvrir cet univers ou de voir les choses sous un autre angle.
Biographie de l’auteur :
Né à Lyon, René-Miguel Roland a suivi dès son plus jeune âge ses parents sur le terrain. On lui doit de nombreux ouvrages sur sa passion, dont « L’Affût au Mirador » aux éditions du Gerfaut et « Gibiers de poche, cuisine et saveurs » chez Montbel, outre de nombreux articles dans les revues spécialisées. Il a participé également à plusieurs tournages de films vidéo sur le chevreuil, le tir d’été et la gestion de l’espèce. Grand voyageur depuis plus de 25 ans,sa vraie passion reste l’Afrique et son passe temps préféré, la photo, après la chasse bien sûr ! Juriste de formation, Docteur en droit, il est actuellement à la tête d’une agence de communication.
Un ouvrage très complet sur le jargon de la chasse, chaque mot est accompagné d’une définition humoristique destiné aux initiés, malgré cela une seconde définition permet de mieux comprendre le mot pour les néophytes.
Poids : 775 g. Date de parution : Septembre 2018. Reliure cartonné. Format : 15,5 x 22 cm. Pagination: 272 pages.
Prix : 24.50 €uros.
POUR COMMANDER
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Mon coup de cœur ! Ce livre fait 15 cm sur 18, autant dire qu’il se glisse aisément dans un sac à dos, un sac tout court. Vous l’aurez toujours sous la main pour identifier l’outil dont vous avez besoin à vos débuts ou suivre une recette de fabrication.
Savez-vous que le couteau Suisse date de 1884. le premier modèle, le « Soldier’s knife » est produit en 1891. Même les astronautes de la NASA eurent le leur : le « MASTER CRAFTSMAN »en 1978.
Une recette parmi d’autres : Entailler une allumette ou une branche sèche pour en faire un « bâton à feu« . Tout das ce livre est simple, facile à réaliser et utile.
Voici le couteau suisse le plus évolué, le plus complet : Ce n’est pas forcément le plus pratique. Il se rapproche plus d’un outil multi-fonctions. Ce livre vous permettra de faire le choix du couteau Suisse qui vous convient en fonction de vos activités, en ville et/ou à la campagne.
Ce livre m’a redonné l’envie d’en posséder un à nouveau maintenant que j’ai compris à quoi servait les différents outils. Le « WORK CHAMP » est le modèle le plus prisé par l’auteur du livre. C’est le plus polyvalent que ce soit en ville et/ou à la campagne. Ce WORK CHAMP a tout ce dont on peut avoir besoin. Le couteau Suisse est nettement plus discret et se fait plus facilement oublié dans une veste qu’un multi-fonctions US.
- SOMMAIRE :
- Remerciements. 3
- À propos de l’auteur. 3
- PARTIE 1 INTRODUCTION
- L’histoire du couteau suisse . 7
- Choisir son couteau suisse . 9
- Accessoires . 42
- PARTIE 2 PRÉPARATION
- Conseils pour le nettoyage, l’aiguisage et l’entretien . 48
- Comment utiliser son couteau suisse . 58
- PARTIE 3 DANS LA NATURE
- Introduction au bushcraft et à la survie . 63
- Garder l’esprit occupé et un bon moral . 65
- Conseils pour la vie au grand air . 68
- Signalisation et navigation . 74
- Faire du feu . 82
- Le campement . 102
- La préparation des aliments . 132
- La pêche . 150
- La collecte et la purification de l’eau . 176
- La toilette . 183
- La réparation du matériel . 185
- L’entretien des armes à feu .204
- Les premiers soins. 207
- Autres utilisations du couteau suisse . 213
- PARTIE 4 EN VILLE
- Urgences quotidiennes . 220
- À bicyclette . 221
- Épilogue . 222
- Index . 223
- Crédits photographiques . 224
- 224 pages 18,50€
C’est bien connu : dans le cochon, tout est bon ! Et ce livre nous le montre à chaque recette. Tous les morceaux de l’animal sont utilisés pour des recettes simples « Rouelle de porc braisée au vinaigre », goûteuses « Wok d’araignée de cochon marinée au gingembre », inventives « Pot-au-feu de queue de cochon à la citronnelle » ou bistronomiques « Rôti d’échine au camembert et à l’andouille façon orloff ».
De la confection du boudin, des saucisses ou du jambon à l’utilisation de la « pluma », du filet mignon ou de la palette, les auteurs vous proposent des recettes de terroir ou aux saveurs exotiques : un tour du monde de la cuisine du cochon. Avec plus de 70 recettes bouchères et charcutières, vous trouverez inévitablement le plat qui vous convient entre la modernité des saveurs et un retour aux sources, lorsque le cochon était tué à la ferme pour remplir le garde-manger sans en délaisser un seul morceau. Un régal des yeux et du palais !
- SOMMAIRE :
- 8 Préface
- 10 Échine, filet, pointe de filet, filet mignon, grillade, travers, pluma, araignée
- 48 Jambon, jarret, épaule, palette
- 80 Poitrine, côtes, carré
- 104 Tête, pied, oreille, joue, queue, foie, langue, cœur, museau
- 130 Charcuterie, recettes de base
- 176 Accompagnements
- 188 Index
- 192 pages 24,95€
- POUR COMMANDER
Un très beau livre, une couverture cartonnée, épaisse. Une impression façon « vieux livre« , un beau cadeau de Noël.
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Ce sublime cadeau m’a été offert par une FEMME qui me sera toujours très chère. Je tiens à préciser qu’à aucun moment elle n’a fait la relation entre un vrai barillet de revolver et cette eau de toilette. Elle s’est contenté de me me dire : « J’en ai essayé plusieurs et je suis tombé en arrêt devant celui-là ! j’ai dit à la vendeuse : « C’est celui-là qu’il me faut ! C’est tout à fait lui ! ».
Quand je lui est montré la similarité du flacon et du barillet d’un revolver, elle en était abasourdie… Madame, mademoiselle, si vous voulez offrir une eau de toilette à votre homme…
Retrouvez ici l’interview de Dominique Venner.
Extraits :
-
Dans votre Dictionnaire amoureux de la chasse (Plon, 2000), vous dévoilez les secrets d’une passion fort ancienne et vous décrivez à mots couverts les secrets d’une initiation. Que vous ont apporté ces heures de traques, en quoi vous ont-elles transformé, voire transfiguré ?
« Malgré son titre, ce Dictionnaire amoureux n’a rien d’un dictionnaire. Je l’ai conçu comme un chant panthéiste dont la chasse est le prétexte. Je dois à celle-ci mes plus beaux souvenirs d’enfance. Je lui dois aussi d’avoir pu survivre moralement et de m’être rééquilibré dans les périodes de désespoir affreux qui ont suivi l’effondrement de mes espérances juvéniles. Avec ou sans arme, par la chasse, je fais retour à mes sources nécessaires : la forêt enchantée, le silence, le mystère du sang sauvage, l’ancien compagnonnage clanique. A mes yeux, la chasse n’est pas un sport. C’est un rituel nécessaire où chacun, prédateur ou proie, joue la partition que lui impose sa nature. Avec l’enfantement, la mort et les semailles, je crois que la chasse, si elle est vécue dans les règles, est le dernier rite primordial à échapper partiellement aux défigurations et manipulations mortelles de la modernité ».
-
Pouvez-vous conseiller quelques grands romans de chasse toujours disponibles ?
« Je pense d’emblée aux Veillées de Saint-Hubert du marquis de Foudras, recueil de nouvelles qui vient d’être réédité par Pygmalion. Foudras était un merveilleux conteur, comme son compatriote et successeur Henri Vincenot — dont il faut lire naturellement La Billebaude. Il était à l’univers des châteaux et de l’ancienne vénerie ce que Vincenot est à celui des chaumières et de la braconne. Parmi les grands romans qui font accéder aux mystères de la chasse, je place très haut Le Guetteur d’ombres de Pierre Moinot, qui va au-delà du récit littéraire bien ficelé. Dans l’abondante production de Paul Vialar, rendu célèbre par La grande Meute, j’ai un faible pour La Croule, nom qui désigne le chant nuptial de la bécasse. C’est un joli roman assez rapide dont le héros est une jeune femme comme on aimerait en rencontrer de temps en temps, et que possède la passion du domaine ancestral. Je suggère aussi de lire La Forêt perdue, bref et magnifique roman médiéval dans lequel Maurice Genevoix fait revivre l’esprit de la mythologie celtique à travers la poursuite impossible d’un grand cerf invulnérable par un veneur acharné, en qui l’on découvre une jeune et intrépide cavalière à l’âme pure ».
Résumés du livre :
- L’un des meilleurs livres récents sur la chasse. Une suite de récits, de souvenirs et de réflexions qui font vivre la passion et l’art de vivre des vrais chasseurs, amoureux de la nature : la vénerie, saint Hubert, la chasse en Europe, l’Afrique, la fauconnerie, les armes, etc.
Historien d’un grande culture, Dominique Venner (1935-2013) a publié des ouvrages sur les armes et l’art cynégétique - Dominique Venner dévoile ici les secrets d’une passion ancestrale que partagent plusieurs centaines de milliers de chasseurs. Au gré de sa fantaisie, il a dispersé de la lettre A à la lettre Z récits, souvenirs et réflexions. Le livre, qui va bien au-delà d’un simple dictionnaire, n’en contient pas moins pourtant de nombreuses définitions utiles sur le gibier, les armes, les chiens, ainsi que les termes de chasse et de vénerie. Cet ouvrage sans équivalent couvre l’historique des mythes et des légendes qui ont toujours escorté la chasse. On y trouve surtout les traces d’une longue initiation passant par la vénerie française et par les chasses, grandes ou petites, de toute la planète.
- Dominique Venner, grand spécialiste de l’histoire de la chasse et de la vénerie, inaugure la collection des « Dictionnaire Amoureux » en nous invitant, avec sincérité et ludisme, à partager sa passion.
- Dominique Venner dévoile ici les secrets d’une passion ancestrale que partagent plusieurs centaines de milliers de chasseurs. Au gré de sa fantaisie, il a dispersé de la lettre A à la lettre Z récits, souvenirs et réflexions. Le livre, qui va bien au-delà d’un simple dictionnaire, n’en contient pas moins pourtant de nombreuses définitions utiles sur le gibier, les armes, les chiens, ainsi que les termes de chasse et de vénerie. Cet ouvrage sans équivalent couvre l’historique des mythes et des légendes qui ont toujours escorté la chasse. On y trouve surtout les traces d’une longue initiation passant par la vénerie française et par les chasses, grandes ou petites, de toute la planète.
Ce livre est disponible chez le libraire le plus proche de chez vous en cliquant ICI.
Livre : Joël SERRE : Troisième édition : « Technologie des balles de chasse pour canons rayés ».
Le dernier livre de Joël Serre. Attention ! Vous pouvez faire dédicacer ce livre par l’auteur en le mentionnant sur le bon de commande.
Attention ! Vous pouvez faire dédicacer ce livre en le précisant sur le bon de commande.
2éme Édition revue et augmentée « Science Complexe de la Balistique, réalités, mythes & fictions ».
Ouvrage très complet sur la balistique, le tir à balle en canon lisse et en canon rayé, les munitions, etc. Il est le fruit de 20 ans d’expérience durant lesquels l’auteur, qui a publié de nombreux articles sur le sujet, a réalisé près de 40 000 tirs d’essai en laboratoire ou en conditions réelles à la chasse. Ayant noté les résultats de ses essais et pris des photos des projectiles, Joël Serre en tire commentaires et avis. Nombreux croquis, tableaux et photos ». Un ouvrage incontournable rédigé dans un langage simple et banalisé, une référence en matière de balistique pour ceux qui veulent en connaître les bases simplement sans se casser la tête.
Mon commentaire sur la première édition : Ce livre est une encyclopédie de la balistique. Vous serez surpris de la pédagogie avec laquelle tous les sujets sont abordés. C’est le LAROUSSE ou LE PETIT ROBERT DE LA CHASSE. Imaginez la langue Française sans un dictionnaire ??? Hé bien là vous avez LE dictionnaire des définitions des projectiles, des structures de balles, de la balistique lésionnelle, avec les photos, tout quoi !Ce livre est ÉNORME, par la somme de travail qu’il représente. Toute la balistique, que ce soit des canons lisse ou rayé est expliqué par des mots simples, accessibles.Un titre au hasard : “Analyse balistique d’approche” et “Analyse balistique scientifique comparative entre le tir à balle en canon lisse et le tir à balle en canon rayé”. J’en connais qui doivent faire déjà des loopings devant le PC !!!! A part le « CHASSEUR FRANÇAIS » qui publie tous les deux ans un tableau synoptique des principaux calibres, il n’existe rien. En tout cas et jusqu’à présent il n’existait pas de recensement PAR MARQUE de toutes les marques de balles de fusil et de toutes les balles de carabine (disponible en Europe) dans leurs différents calibres et différentes structures. “STRUCTURE”, retenez bien ce mot car c’est ce qui compte le plus aujourd’hui. La structure de la balle et donc par extension sa capacité à se déformer selon un processus contrôlé.
2éme Édition revue et augmentée
D’abord on est très surpris par le poids du livre (A4), plus d’un 1.5 kg, soit 400 grammes de plus que le précédent. C’est un pavé ! Ensuite le papier et la qualité d’impression sont remarquables. Il faut dire que le livre a été édité à « compte d’auteur » et Joël SERRE a pris un grand soin pour le choix de l’imprimeur, du papier, etc… Les photos sont nettes, les couleurs saturées font fait bien ressortir les balles. Je n’ai pas eu le temps de tout comparer, pourtant même en feuilletant les deux exemplaires côte à côte j’avais l’impression d’avoir deux livres différents ce qui signifie que la mise en page a été complétement revisitée. C’est remarquable de précision. C’est un pavé qui survivra à l’auteur ! Plus de 370 pages au format A4. 65 €uros frais de port inclus pour la France.
29 pages (!) de tables balistiques du calibre 17 au 700 Nitro express en passant par les calibres 12, 16, 20.
“Ouvrage très complet sur la balistique, le tir à balle en canon lisse et en canon rayé, les munitions, etc. Il est le fruit de 20 ans d’expérience durant lesquels l’auteur, qui a publié de nombreux articles sur le sujet, a réalisé près de 40 000 tirs d’essai en laboratoire ou en conditions réelles à la chasse. Ayant noté les résultats de ses essais et pris des photos des projectiles, Joël Serre en tire commentaires et avis. Nombreux croquis, tableaux et photos.
LE LIVRE indispensable à tout tireur/chasseur qui se respecte. J’ai découvert ce livre un ou deux ans après l’ouverture du blog, j’avais l’impression en le lisant d’avoir écrit certains passages…! Ce livre est avant tout le livre d’un TIREUR, quelqu’un qui a appris le tir tel qu’on devrait l’enseigner aujourd’hui. Il est indispensable de l’offrir à un jeune chasseur ou chasseresse. N’hésitez pas à me questionner pour toutes questions par rapport à ce livre.
Voici le mail que j’ai reçu de JP MENU suite à l’envoi d’un mail me présentant : « Mai 2009. « Bonsoir cher confrère, J’ai lu avec intérêt vos articles. Il semble en effet que nous avons les mêmes vues sur pas mal de choses ! J’ai « commis » ce livre car il me fut commandé par mon éditeur qui avait publie mon livre sur la chasse a l’arc. Au cours d’une réunion je lui fis part de mon écœurement de voir les inepties qui se lisaient partout. Et ce n’est pas fini: je viens de lire un article dans une célèbre revue où on conseille le 270WSM en battue…... Mais il y a eu une évolution certaine ces 5 ou 10 dernières années. Je rentre il y a 15 jours d’Afrique où j’ai séché pile (c’est à dire sur place) 5 buffles. Toutes les balles de 416 Rigby blindées dans la zone avant et haute du corps. Ensuite je « double » systématiquement sur la bête au sol au cas où ma balle serait trop haute (apophyse). Ils sont « cassés » et tombent sur place. Mais ce tir est contre nature, je veux dire qu’il n’est pas d’école, recommandé par personne (a part moi!) et n’est pratiqué que par très peu de chasseurs. C’est pour moi le meilleur de tous, sans doute plus facile que le tir au cou car la zone à toucher est nettement plus grande…Mais a chacun son style… Au plaisir de vous lire et a votre service ». JP Menu.
C’est un livre de 140 pages publié en 2000, dont personne n’a parlé et pour cause, il remet en cause bien des théories des anti-chasses.
Le livre commence par un tir de précision : « Depuis une vingtaine d’années (on est en 2000), les associations « de protection de la nature » ou de « protection animale » (NDR : Qui vivent grassement sur nos impôts) ont fleuri comme le muguet au mois de mai. Et beaucoup d’entre elles ont très vite pris une connotation anti-chasse, quand elles n’étaient pas créées avec pour objectif premier de s’opposer à la chasse, en demandant son interdiction ou en exigeant des mesures qui la feraient à coup sûr disparaitre ». « …ils jurent n’être pas contre la chasse mais exigent des restrictions telles que, si elles étaient imposées, plus un seul chasseur n’aurait envie de s’adonner à ce loisir qui est aujourd’hui le sien. »
« Une carte de visite anti-chasse, c’est bien pratique : elle permet de recruter assez facilement des adhérents qui alimentent une trésorerie et d’obtenir des subventions élevées de collectivités locales ».
L’absence de prédateur, naturel et/ou humain, bouleverse l’écosystème, on vient de s’en apercevoir avec le cas emblématique du parc de Yellowstone : Voir mon article : « Écologie : Vidéo : Comment les loups ont régénéré la végétation du parc de Yellowstone » : « Les loups ont été réintroduits dans le parc de Yellowstone en 1995. Depuis 70 ans qu’il n’y avait plus de loups dans ce parc, LE NOMBRE DE CERVIDÉS N’A FAIT QU’AUGMENTER ! CAR ILS N’AVAIENT PAS DE PRÉDATEURS ET COMME ILS N’AVAIENT PAS DE PRÉDATEURS, ILS AVAIENT RÉDUIT LA VÉGÉTATION A NÉANT ! ILS L’AVAIENT TOUT SIMPLEMENT BROUTÉE, MANGÉE, DILAPIDÉE !
L’introduction du loup (NDR : donc d’un prédateur) bouleversa profondément tout l’écosystème, car il changea radicalement et instantanément le comportement des cervidés ! Vous allez voir comment la réintroduction d’un prédateur dans ce parc national de 8 983 km², deux fois le département de la Haute-Savoie a permis :
- La régénération de tous les bois et de toute la végétation.
- Dans certaines zones la hauteur des arbres a quintuplé en 6 ans !!!
- Les pentes dénudées des vallées sont rapidement devenues des forêts de peupliers et de saules.
- Dés ce moment le nombre d’oiseaux n’a cessé d’augmenter.
- Le nombre d’oiseaux chanteurs et migrateurs a lui aussi considérablement augmenté.
- Les castors se firent plus nombreux et ils aiment manger les arbres. Les castors, comme les loups sont des ingénieurs de l’écosystème, ils créent des niches pour d’autres espèces et les barrages qu’ils construisent dans les rivières fournissent des habitats pour les loutres, les ragondins, les canards, les poissons, les reptiles, les amphibiens.
- Les loups ont tué des coyotes ce qui a entrainé l’augmentation du nombre de lapins, de souris et du coup l’apparition de plus de faucons, de belettes, de renards et de blaireaux.
- Les corbeaux se sont nourris des charognes laissés par les loups.
- La population des ours a commencé à augmenter en raison de l’augmentation des baies sur les nouveaux arbustes. Les ours ont accentué la pression des loups en tuant quelques faons. Même le tracé des rivières s’est modifié !
Il faut bien avoir à l’esprit que sans la pratique régulière de la chasse, il n’y aurait plus de forêts, plus aucune culture ne serait possible.
Continuons de parcourir le livre…
Page 14 : « …….Je me souviens d’avoir vu un anti-chasse virulent sortir d’une coopérative agricole avec un sac de blé empoisonné, destiné à des souris ou des rats. Ce même intégriste partisan de l’équilibre naturel trouvait normal d’empoisonner d’autres animaux, parce qu’ils le gênaient……. ! »
Page 15 : « Cette brave dame qui fustige la chasse à courre au cerf mais qui laisse son chat jouer devant elle pendant une heure ou davantage avec la souris qu’il vient de prendre ».
Page 16 : « Les câbles de remontées mécaniques au ski tuent des dizaines de milliers d’oiseaux chaque années. Pourquoi ne pas supprimer le ski puisqu’il n’est pas une activité indispensable à la survie de l’humanité ».
Les chasseurs font souffrir les animaux ? Un chasseur qui se respecte doit abréger le plus vite possible les souffrances d’un animal !
Mais qu’en est-il des animaux qui font souffrir leurs congénères ? Page 24 : « Les corneilles que certains écologistes veulent faire protéger s’attaquent souvent aux yeux de leurs victimes pour les mettre hors d’état de fuir et les dévorer facilement. Les éleveurs dont le bétail met bas en plein air trouvent couramment des veaux ou des agneaux nouveau-nés qui ont eu les yeux mangés et qui vivent encore. Allez dire à c es hommes de la terre que la chasse est cruelle et que les carnassiers doivent être protégés ».
Les écolos ont su très intelligemment interdire de porter des carcasses de vaches mortes aux vautours dans les Pyrénées. Maintenant les veaux se font manger vivant dés leur naissance par les vautours qui crèvent de faim. On a même vu des vautours planés dangereusement au dessus d’une école maternelle dans les Pyrénées tout cela à cause d’abrutis qui ont interdit de faire porter des carcasses d’animaux morts aux vautours !
« Pyrénées. Quand les vautours se transforment en fauves ».
13 ans après la publication de ce livre voici les conséquences « imprévues ? » de ces crétins d’anti-chasse de salon : « Campagne Anglaise : Il faut tuer 1.200.000 cervidés ! » Oui ! Vous avez bien lu il faut tuer 1.200.000 cervidés en Angleterre, c’est-à-dire 60% minimum de la population (estimée à 2.000.000), avant je cite : « …qu’ils ne détruisent la campagne telle qu’on la connaît. Et eux-mêmes vont finir par manquer de nourriture. » Et encore… 60% c’est : « ……simplement pour conserver leur population à un niveau stable ».
Continuons de parcourir le livre…
Vous allez rire : « Les prélèvement de chevreuils pour la saison 1997/1998 furent de 367.200 animaux ». Le chiffre pour 2014/2015 est de 551.055… !!!!!!!!!!!
« Les prélèvements de sangliers pour la saison 1997/1998 furent de 323.000 animaux ». Le chiffre pour 2014/2015 est de 585.587… !!!!!!!!!!!
Si un crétin vous dit qu’il faut installer des clôtures, demandez lui s’il veut les financer à moins de tomber sur un futur ex-président de la République qui vous répondra « : « C’est pas cher c’est –les cons- l’État qui paye ! ».
Voir page 154 et suivantes les dégâts causés par le « Croque-mort des rivières », nommé le Cormoran qui pèche chaque jour de 500 à 700 grammes de poison. « ……….il blesse également un grand nombre de carpes, brochets, truites, etc.. qui crèvent généralement ou sont impropres à la consommation ». « ……concernant ces lieux où les cormorans vont passer la nuit, il y a par exemple un dortoir prés de Lyon où ils déversent des tonnes d’une fiente particulièrement répugnante, juste au dessus d’une zone de captage des eaux de la ville de Lyon ».
La Suisse, le canton de Genève et la désinformation des écolos !
« On ne chasse plus en Suisse et tout s’y passe très bien… » Voilà ce que certains écolos racontent ! Sauf que cela ne concerne que le minuscule canton de Genève, que la chasse n’a absolument pas disparu et que cette décision s’est révélée catastrophique et très coûteuse puisqu’il a fallu créer un corps de professionnels de la mort chargés d’abattre les bêtes ! Hé oui la régulation naturelle n’existe que dans le cerveau des crétins !
Ces fonctionnaires de la mort « chassent la nuit avec un matériel employé par les plus redoutables braconniers : véhicules, armes à longue portée équipées de lunettes de vision nocturne et de phares portatifs »,et très vraisemblablement équipé de modérateur de son. On est très loin de la déontologie de la chasse…
Ceci n’est qu’un petit extrait des sujets abordés dans ce livre et dont le sommaire est ici.
Le livre se présente lui même : « Trop souvent ceux qui reviennent de safari disent avec regret : « c’était formidable, mais si j’avais su, je me serais équipé autrement, j’aurais choisi une autre carabine et j’aurais pris des précautions qui m’auraient évité des échecs et des ennuis ».
Ce livre répond à ces préoccupations et à ces vœux. Indispensable aux naturalistes comme aux chasseurs, il aborde tous les aspects scientifiques et cynégétiques de cet animal prestigieux qu’est le buffle africain, jusqu’ici traités thématiquement en ordre dispersé.
Étudiant le buffle d’Afrique en tant qu’animal sauvage et gibier, il donne au chasseur de safari ou au chasseur d’images l’essentiel de ce qu’il est utile de savoir pour approcher ces splendides créatures, à pied et au plus près, avec de bonnes chances de succès tout en réduisant les risques.
Ce livre montre aussi que la brousse est une université de la nature dont les habitants sont les enseignants ; il invite à l’humilité, au respect et à une réflexion sur notre histoire humaine et sur nos responsabilités écologiques ».
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Le Docteur Corson est un chasseur réputé MAIS PAS QUE…! Il ne s’est pas contenté de pister le buffle il l’a aussi étudié sous toutes les coutures tant du point de vue mythologique que sous un aspect biologique.
Vous lirez avec délectation son approche de l’animal en récitant mentalement des numéros de téléphone pour ne pas envoyer un -mauvais- signal télépathique à l’animal. Ses conseils rejoignent ceux que je donne et notamment « il faut toujours tuer le mort d’une balle dans l’oreille » ou en ce qui me concerne la colonne au cou quand l’oreille n’est pas accessible.
Son livre dézingue pour mon plus grand plaisir ceux qui prétendent que le 9.3×62 n’est pas assez puissant pour l’Afrique. Alors même qu’il a été créé pour cela ! “J’ai tué davantage de buffles avec ma vieille 9.3×62 qu’’avec des calibres Magnum. Les incidents et déboires, je ne les ai enregistrés qu’avec des armes, théoriquement les plus puissantes”.
Livre : “Maitriser le tir à balles”. Voici ce que dit l’auteur : “Le 9.3×62 est un vieux broussard. La balle de 18.5 grammes a une superbe densité sectionnelle et pénétrera autant sinon plus qu’une 19.44 grammes de 375″. Je recommande la 9.3×62 avec des balles de 18.5 grammes blindées et expansives pour usage général en Afrique”.
Il donne également quelques conseils pratiques, tous très judicieux. Un livre que je vous recommande d’acheter et/ou d’offrir à un chasseur, chasseresse, même s’il ne chasse pas en Afrique mais pour le plaisir de la narration.
Lire également l’article : « Chasse en Afrique, conseils pratiques ».
Vous souhaitez offrir un couteau multi-fonction à un chasseur voici trois vidéos de quatre outils leaders du marché, je veux parler du LEATHERMAN : SURGE, WAVE Leatherman SIGNAL-TEST et SKELETOOL. Les vidéos sont tellement bien faites qu’elle servent également de manuel d’utilisation.
Je crois, vu les nombre d’incidents semestriels, que vous pourriez ajouter aux idées de cadeaux, des gilets pare-balles en kevlar 🙂