OVNIs : Rencontre du troisième type (RR3) à VALENSOLE et ailleurs en France….

Le réalisateur Dominique Filhol a décidé d’adapter sous la forme d’un long métrage de fiction l’une des affaires les plus célèbres de l’ufologie française.

https://www.youtube.com/watch?v=av7uXsxgjxo&feature=youtu.be

Mise à jour Janvier 2024

Le 1er juillet 1965, Maurice Masse, agriculteur, fait une rencontre des plus étranges, qui changera le cours de sa vie. Des extraterrestres auraient atterri au milieu de ses champs de lavande à Valensole.

Mon commentaire sur l’affaire de Valensole : Résolvez POURQUOI ces extraterrestres ont prélevés de la lavande et vous aurez résolu l’affaire de Valensole. C’est aussi simple que ça !

Comme dans toutes ces affaires, ce qui est intéressant, c’est ce qui est gravé dans le marbre. Ce qui est gravé dans le marbre, ce sont les PV de Gendarmerie originaux de l’affaire VALENSOLE. Ils sont disponibles ici sur le site du GEIPAN.

D’autres affaires tout aussi intéressantes en France

TRANS EN PROVENCE

VIDÉO : Le GEPAN, Groupement d’études des phénomènes aérospatiaux non identifiés, dépendant du Cnes, vient de rendre son rapport sur le passage d’un ovni à Trans en Provence en Janvier 1981. Le journaliste Jean Claude LAPLAUD a retrouvé les témoins du phénomène : RENATO Nicolai, propriétaire du terrain où se trouvaient des traces de passage de l’engin et le capitaine CORMIER de la gendarmerie de Draguignan qui a fait procéder aux analyses scientifiques. En plateau, Jean- Marc MICHEL reçoit Jacques MOREAU spécialiste de la question des ovnis.

Le rapport complet du GEIPAN sur l’affaire TRANS EN PROVENCE. (Groupe d’étude et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés).  Le GEIPAN est rattaché au CNRS. De quoi donner des maux de têtes aux sceptiques.

  • Résumé :
    Observation de l’atterrissage et du départ d’un objet ayant laissé des traces au sol.
    Description :
    Le 08 janvier 1981, le témoin est sur la terrasse supérieure de sa propriété et travaille à la construction d’un petit édifice en maçonnerie pour protéger une pompe.
  • Son attention est soudain attirée par un sifflement et il voit un engin descendre vers le sol, se poser en contrebas à quelques dizaines de mètres de lui et repartir après quelques secondes selon une trajectoire verticale avant de disparaître à grande vitesse aux yeux du témoin. Sous l’engin, le témoin aperçoit des formes circulaires proéminentes qu’il identifie comme étant des trappes où des pieds.
  • L’engin de couleur grise comme du zinc, n’émettait ni flamme ni fumée et avait une dimension d’environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, il était circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse, les « pieds » étant de la dimension « d’un seau de maçon ». L’ensemble de l’observation a duré de 30 à 40 secondes.
  • Lorsque le témoin s’approche du lieu d’atterrissage il constate une trace d’environ 2 mètres de diamètre sur le sol avec des marques de « ripages » en certains points de sa circonférence. La Gendarmerie intervient le 09 janvier, auditionne le témoin, constate la trace sur le sol, et procède à des prélèvements d’échantillons de terre sur la trace elle-même ainsi que de plants de luzerne sauvage prélevés de façon progressive depuis la trace jusqu’à 10 mètres environ de celle-ci. Le GEPAN est intervenu le 17 février.
  • Les traces sont encore visibles et une nouvelle série de prélèvements de luzerne et de terre est effectuée.
  • Les analyses de sol ont été confiées à quatre laboratoires différents qui ont effectué des analyses selon des techniques différentes et apporté chacun un point de vue complémentaire.
  • La synthèse de ces analyses permet de mettre en valeur trois résultats principaux : • un tassement significatif du sol montrant la présence d’un corps pesant ayant laissé un léger dépôt de fer et d’oxyde de fer, mais aussi de phosphates et de zinc pouvant venir du frottement sur le sol d’un revêtement de peinture ; • les résidus noirâtres relevés sur la trace peuvent être des résidus de combustion, • Un échauffement significatif (mais inférieur à 600°) a également été détecté.
  • Les analyses biochimiques des échantillons de luzerne ont été réalisées par un laboratoire de biochimie de l’INRA. Elles ont montré des dégradations multiples des plantes corrélées avec leur distance à la trace. Les causes de ces dégradations n’ont pas été déterminées mais l’hypothèse d’un champ électrique intense peut être envisagée. Les analyses menées n’ont guère permis d’apporter une estimation quantitative du phénomène, pas plus qu’une preuve de la narration du témoin, qui reste unique, bien que le comportement de celui-ci ne permette pas de mettre en doute sa crédibilité. Un phénomène important inhabituel s’est produit ce jour là, et l’enquête n’a pas permis d’en déterminer l’origine..

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