Dans le cadre des « Repas Ufologiques Toulousain », j’ai assistĂ© hier au soir Ă une confĂ©rence donnĂ©e par Alain BOUDIER, le PrĂ©sident de la commission SIGMA, au sein de la prestigieuse 3AF. La suite en bas de l’article.
Jâai assistĂ© pour la premiĂšre fois Ă un Repas Ufologique. Comme vous pouvez le voir en cliquant sur le lien il y a des repas Ufologiques un peu partout en France chaque mois.
Pour ma premiĂšre rencontre, ce fut un vĂ©ritable don du ciel, puisque nous avons eu droit Ă lâintervention dâun grand parmi les trĂšs grands de la recherche Ufologique, auteur de plusieurs livres et notamment de la seule et vĂ©ritable bonne hypothĂšse concernant la frĂ©quentation assidue par de Gentils Visiteurs (GV) de ce qui Ă©tait Ă lâĂ©poque (1947) lâunique -au monde- et « au-delĂ du Top-Secret » base aĂ©rienne de ROSWELL oĂč Ă©tait stationnĂ©e, le 509Ă©me squadron (escadrille) de bombardier atomique. Base de ROSWELL dâoĂč dĂ©collĂšrent les avions qui bombardĂšrent le Japon. A lâĂ©poque du crash, les six exemplaires au monde de bombe A Ă©taient dĂ©tenus Ă cet endroit ! Dans les mois qui suivirent et durant prĂ©s de vingt ans, toutes les bases et sites de lancement US furent non pas « visitĂ©s » ou « survolĂ©s », MAIS SUR-SUR-VISITĂS et SUR-SURVOLĂS, comme sâil fallait et selon la terminologie en vigueur dans ce genre de manifestation : « envoyer un message fort ! ». On peut parler aussi de « show on force ».
Si on nâa pas ça en tĂȘte on ne peut pas comprendre quoi que ce soit ni Ă lâaffaire de ROSWELL, ni Ă rien de ce qui concerne le phĂ©nomĂšne « visiteurs de lâespace », mais vous trouverez sur le net dâautres appellations toutes aussi lĂ©gitimes comme : « FrĂšres de lâespace », etc… Le limogeage en avril 1951 de Mac-Arthur qui voulait atomiser la Chine, Ă ses yeux principale responsable de la guerre de CorĂ©e, est trĂšs certainement un dommage collatĂ©ral !
Revenons-en, non pas Ă nos moutons mais Ă nos GV (Gentils Visiteurs). Donc Jean-Gabriel GREESLE dont fut tĂ©moin, le « hasard » ou la synchronicitĂ© faisant bien les choses, trĂšs jeune, lorsquâil fit ses premiĂšres armes comme pilote dans lâUS AIR-FORCE (excusez du peu !) de manifestations tangibles dâobjets volants non conventionnels.
Je ne parlerai Ă aucun moment dans ce sujet dâOVNIS ou de PAN « phĂ©nomĂšnes aĂ©rospatiaux non identifiĂ©s » selon la terminologie du CNES mais dâAVNC « Appareil volant Non Conventionnel », car on peut considĂ©rer maintenant et aucune autoritĂ© ne viendra prĂ©tendre le contraire, que lâon ne peut plus au vu des centaines de milliers de pages de rapports militaires et/ou civils, Ă©manant de toutes sortes de pays, continuer Ă parler de « phĂ©nomĂšnes lumineux non identifiĂ©s » ou « dâobjets volants non identifiĂ©s », incluant ainsi les ballons chinois et autres amuse-gueules !
Donc JG.GRESLE dĂ©jeunait tranquillement le soir dans la cantine de la base aĂ©rienne US Ă laquelle il Ă©tait affectĂ© quand tout Ă coup toutes les radios du pays annoncent : « Nous interrompons toutes nos Ă©missions, nous venons dâapprendre que des disques volants non identifiĂ©s survolent actuellement la maison Blanche ! Sommes-nous attaquĂ©s ? ». Cette dĂ©monstration de force, car sâen Ă©tait bien une ! Est plus connue sous le nom de : « 1952. Carrousel de Washington ».
- « Carrousel » que je me permettrai de requalifier de l’expression suivant qui n’engage que mes connaissances : « 1952 : Show on force on Washington ».
- Vidéo :
Jean Gabriel GRESLE Ă©tait alors en formation au sein de l’Air-Force et a vĂ©cu de lâintĂ©rieur l’alerte gĂ©nĂ©rale :
Une autre vidĂ©o trĂšs impressionnante tournĂ©e en temps rĂ©el, câest celle de PHOENIX en Arizona :
Il y a aussi la fameuse « vague belge » de 1990, plusieurs dizaines dâobservations qui font dire Ă ce colonel de lâarmĂ©e de lâair Belge dans la vidĂ©o qui suit : « On en est quand mĂȘme venu Ă la conclusion que le comportement (NDR : de ces engins) nâĂ©tait pas tout Ă fait conventionnel ». Notez le doux euphĂ©misme : « pas tout Ă fait conventionnel ! ». Les Anglais appellent cela un « understatement » !
Plus tard, JG GRESLE durant sa carriĂšre de pilote fit plusieurs rencontres en plein ciel comme il sâen explique ici dans un repas Ufologique Ă Toulouse. Extrait : « Devenu pilote civil, jâai Ă©tĂ© tĂ©moin deux fois dâobservations en vol et une troisiĂšme fois au sol : La premiĂšre fois : En Boeing 707 entre Rio de Janeiro et Furianopolis et nous avons Ă©tĂ© dĂ©passĂ©s par un engin massif observĂ© sur notre Radar. Un Ă©cho allant plus vite que nous avait mis 15 secondes pour parcourir dix milles nautiques. Notre avion allant Ă 8 nautiques Ă la minute, cela donnait 48 milles nautiques en une minute soit environ MAC 5, ou prĂšs de 5000 km/h, Ă 10 000 mĂštres dâaltitude. »
Les livres de JG GRESLE font autorités sur le sujet, vous les retrouverez dans cet article : « ROSWELL : Le crash et les récupérations confirmés par les archives nationales Anglaises ! »
Au titre des « rĂ©vĂ©lations » faites au cours de cette confĂ©rence, jâai notĂ© plusieurs choses trĂšs intĂ©ressantes qui mâont aidĂ© Ă comprendre le pourquoi de la dĂ©classification des archives nationales Anglaises au sujet de lâaffaire ROSWELL. Nous y reviendrons !
Sans doute avez-vous entendu parler du rapport COMETA remis en son temps Ă Lionel JOSPIN, Premier ministre. Les personnes ayant rĂ©digĂ©es ce rapport peuvent difficilement ĂȘtre qualifiĂ©es dâilluminĂ©s !
Achetez-le en livre de poche :
Juin 2021 : En effectuant des recherches sur le rapport COMETA je suis tombĂ© sur un article de CRĂTINS comme on en voit peu :
Extrait du journal « L’EXPRESS » : Ătre abonnĂ© Ă des crĂ©tins pareils c’est un crime !!!
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Le rapport COMETA a vĂ©cu, câest maintenant la « COMMISSION SIGMA 2 » qui prend le relais. Il aura servi Ă sensibiliser Ă moins quâil ne faille parler deâŠ.. « dĂ©sensibilisation » đ les plus hautes autoritĂ©s politiques et militaires ! La commission SIGMA 3AF est une commission technique rattachĂ©e Ă la sociĂ©tĂ© savante la plus importante dââŹurope, jâai nommé la trĂšs prestigieuse « Association AĂ©ronautique et Astronautique de France ».
TĂ©lĂ©charger le rapport dâĂ©tape (13 pages) de la commission SIGMA 3AF publiĂ© en Mai 2010.
Suite au commentaire argumentĂ© d’un internaute, le passage concernant le document censĂ© Ă©maner du SGDN : « SecrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de la dĂ©fense nationale » (SGDN) transformĂ© depuis en « SecrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de la dĂ©fense et de la sĂ©curitĂ© nationale » (SGDSN), ce passage a Ă©tĂ© supprimĂ© car il est assez probable que ce document soit un faux ! Pour rappel, ce document prĂ©tend qu’il y a au sein du SGDSN une habilitation OVNI ou OANI. En tout cas les Ă©lĂ©ments fournis par cet internaute (cliquez sur : « voir le commentaire » en bas de l’article) sont suffisamment probants pour que jusqu’Ă plus ample informĂ© je retire cette information ! Juin 2021 : Rectification : Je pense aujourd’hui que cette habilitation OVNI, mĂȘme si elle ne porte SUREMENT PAS ce nom, existe !!!! Chez les US, on le sait depuis les incidents sur la base d’EDWARDS en Californie en 1965, qu’il y a un officier OVNI « UFO officer » sur certaines bases, nuclĂ©aires notamment. L’enregistrement audio dit : « Allez rĂ©veiller lâofficier OVNI ». Je ne serai pas Ă©tonnĂ© qu’il y est l’Ă©quivalent en France…
La commission SIGMA met en ligne un document exceptionnel : « Janvier 1967, un OVNI survole Hammaguir », la description d’un « cigare volant » devant 8 personnes dont plusieurs astronomes et membres du CNES. Je vous laisse dĂ©couvrir le CV des « hurluberlus ».
OVNI (AVNC). 1963 : Sahara, base dâHammaguir, un OVNI prend 62g dĂ©part arrĂȘtĂ©…!!!
Câest effectivement une grosse rĂ©vĂ©lation qui est faite lĂ Â ! En effet câest la preuve que ce dossier est pris trĂšs au sĂ©rieux par les plus hautes autoritĂ©s militaires. Le problĂšme câest que les militaires ont eux aussi des Ă©tats dâĂąmes (si si !) et quâils ont du mal Ă garder tout cela pour eux-mĂȘmes et il semblerait que lâon sâoriente vers une dĂ©classification progressive de tout ce qui touche aux phĂ©nomĂšnes « non conventionnels » disons le franchement : « extra-terrestre ». Nous allons y revenir !
Il semblerait que lâaspect constitutionnel soit Ă©tudiĂ©. En effet, est-il normal que pratiquement aucun Ă©lu Français ne soit informé pour des questions relevant de lâhabilitation au Secret DĂ©fense ? Voire au-delĂ âŠÂ !
La commission SIGMA 3AF sâest dĂ©placĂ©e Ă Washington pour rencontrer certains de leurs homologues. Il semblerait dâaprĂšs ce que jâai pu comprendre que les AmĂ©ricains nâont pas la volontĂ© politique de parler ouvertement et officiellement du phĂ©nomĂšne extraterrestre, quâil prĂ©fĂšre refiler le bĂ©bĂ© aux Français par exemple : JG GRESLE rapporte une phrase que je cite de façon incomplĂšte : « Vous autres Français savez faire cela mieux que nous ». Un truc comme ça !
 A mon humble avis et pour avoir la prĂ©tention de connaĂźtre un peu le sujet, je pense que le problĂšme nâest pas lĂ . Les AmĂ©ricains de par leur systĂšme ultra-dĂ©mocratique qui dĂ©classifient automatiquement les documents en vertu du « Freedom of Information Act » sont un peu emmerdĂ©s aux entournures ! Sâils sont aussi emmerdĂ©s câest quâils ont beaucoup, mais alors beaucoup de choses Ă se faire pardonner !
Pour faire une analogie, je dirai que le phĂ©nomĂšne visiteurs de lâespace, câest comme un garrot, il faut le desserrer, mais le desserrer tout doucement ! Parce que sinon, toute la merde (les choses Ă se faire pardonner) stockĂ©e en amont va arriver brutalement au cĆur et tout faire pĂ©ter ! Remplacez le cĆur par une population que je qualifierai de « lĂ©gĂšrement illuminĂ©e » et vous aurez compris !
AprĂšs tout, ces visites restant jusquâĂ preuve du contraire pacifiques et surtout destinĂ©es semble tâil Ă faire de la dĂ©monstration de force, « show on force » comme on dit et compte tenu que câest manifestement eux qui ont la main, quâils font ce quâils veulent, pourquoi ne pas les accepter comme on accepte bien dâautres choses dans notre environnement !
Pour en arriver lĂ câest simple ! Jâapplique le principe de la « rĂ©tro-ingĂ©nierie » que je qualifie en lâoccurrence de « rĂ©tro-information ». Les AmĂ©ricains ne savent pas par quel bout aborder le sujet parce que quelque soit le bout par lequel ils le prennent, ils craignent de ne plus pouvoir arrĂȘter les divulgations et donc, principe du garrot desserrĂ© trop vite, faire pĂ©ter le cerveau de la population. Car il y a des aspects que lâon peut qualifier de difficilement abordables, Il faut avoir lu cet incroyable document quâest le « Briefing du PrĂ©sident REAGAN » traduit en Français et disponible sur le site « BANLIN.FR ». Et encore certains đ « points de dĂ©tails » đ ont Ă©tĂ© censurĂ©s. Ce quâil rĂ©vĂšle est tout simplement Ă©norme ! On comprend quâils se retranchent derriĂšre lâadage : « Toute vĂ©ritĂ© nâest pas bonne Ă dire ». Quid des cadavres rĂ©cupĂ©rĂ©s ? On en fait quoi ? On les garde pour nous ? Un nouveau prĂ©sident ne risque tâil pas de livrer une partie des Ă©lĂ©ments rĂ©cupĂ©rĂ©s Ă la communautĂ© internationale ? Quelles consĂ©quences ? Nâallez pas croire quâun PrĂ©sident sait tout sur tout ! Il est dĂ©pendant de ceux qui possĂšdent lâinformation. Mitterrand fut informĂ© et de façon fortuite de la prĂ©sence dâun rĂ©seau STAY-BEHIND en France couplĂ© Ă ceux de lâOTAN, neuf ans aprĂšs son arrivĂ©e au pouvoir ! Dire quâil a fait la gueule est un doux euphĂ©misme !
Au sujet de REAGAN qui fut semble t’il le plus informĂ© de tous les PrĂ©sidents rĂ©cents, Ă©coutez bien cette dĂ©claration Ă la tribune de l’ONU :
Donc pour rĂ©sumĂ©, il semblerait que les AmĂ©ricains laissent le soin Ă dâautres de faire des « rĂ©vĂ©lations » comme par exemple celui des documents sur lâaffaire de ROSWELL transmis au Gouvernement Britannique et dĂ©classifiĂ©s depuis. Voir mon article citĂ© plus haut : « ROSWELL : Le crash et les rĂ©cupĂ©rations confirmĂ©s par les archives nationales Anglaises ! ». Câest lĂ que mes interrogations sur la divulgation de ces documents tombent puisqu’il sâagit progressivement de relĂącher le garrot de la censure et petit Ă petit dâinformer le public. Et comme l’annonce JG.GRESLE, la politique de divulgation officielle serait la suivante : « Nous mettrons Ă disposition de tous ceux qui le demandent ou tous ceux que cela intĂ©resse (NDR : Internet ?) les documents en notre possession, mais nous nâimposerons rien Ă tous ceux qui ne veulent pas en entendre parler. Il nây aura donc pas de grand-messe officielle ». Autrement dit, câest comme si vous nâaimiez pas une chaĂźne de tĂ©lĂ©, personne ne vous obligera Ă la regarder. Libre arbitre !
Jâajouterai que la commission SIGMA 3AF son rapport dĂ©finitif en novembre 2012 et que semble tâil, la dĂ©cision serait dâors et dĂ©jĂ prise de le rendre public*.
*Mise Ă jour du 25 Avril 2013
Dans le cadre des « Repas Ufologiques Toulousain », j’ai assistĂ© hier au soir Ă une confĂ©rence donnĂ©e par Alain BOUDIER, le PrĂ©sident de la commission SIGMA, au sein de la prestigieuse 3AF.
Le rapport SIGMA contrairement aux attentes de tous les Ufologues, ne sera pas pour le moment rendu public. Sans doute la dĂ©sensibilisation n’a t-elle pas fini d’opĂ©rer…!
Ce rapport ouvre la voie Ă un seconde commission dite « SIGMA II ». Comme nous l’avons fait remarquer Ă Monsieur BOUDIER, il faudrait arrĂȘter de tourner autour du pot et commencer Ă passer au plan B, c’est Ă dire de prĂ©parer les populations Ă de « nouvelles dĂ©couvertes ». Comment s’y prendre, envisager toutes les hypothĂšses. Il est probable que les plus ennuyĂ©s dans cette affaire soient non pas la population lambda, mais plutĂŽt les leaders religieux et parmi eux les plus fanatiques qui verraient s »éloigner ce qui fait leur fonds de commerce. Et rien que pour ça il faut entamer le processus avant que « d’autres » exaspĂ©rĂ©s par nos gesticulations nuclĂ©aires ne piquent une grosse colĂšre…!
Une vidéo de JG.GRESLE aux repas Ufologiques Toulousains en décembre 2010.
Vous ĂȘtes hĂ©bergĂ© ? Dont acte c’est modifier !
j’ai complĂ©tĂ© ma rĂ©ponse en citant les documents des archives nationales Anglaises, je pourrai ajouter toutes les vidĂ©os disponbles dans d’autres articles sur mon blog.
C’est tout Ă fait votre droit de chercher Ă prouver que tout est faux, mais ajouter le mot scientifique Ă votre scepticisme me semble trĂšs exagĂ©rĂ©.
Mais encore une fois et pour la note du SGDSN vous avez plus que certainement vu juste ! Et rien que pour cela vous mĂ©ritez d’ĂȘtre citĂ© et remerciĂ© !
Rien de tel pour juger du sĂ©rieux du contenu dâun site, le votre en lâoccurrence : « Pangolia.com »
DĂ©solĂ©, mais ce n’est pas mon site, faites un whois et vous verrez. C’Ă©tait juste un ami qui me prĂ©tait de l’espace.
Pour les crop-circles pouvez-vous m’en donner un, un seul oĂč il y a rĂ©ellement quelque chose d’inexplicable ?Â
Un seul oĂč les tiges sont vraiment trĂ©ssĂ©es entre elles et sur toute la surface ?Â
Convainquant ou non quand j’affirme quelque chose je fais l’effort d’en faire la dĂ©monstration, en face ça manque cruellement, par exemple on se contente de rĂ©pĂ©ter que des crop-circles ont les
tiges tissĂ©es entre elles, on nâa jamais vu un gros plan ni rien…
Voici une longue sĂ©rie dâexperts, de vrais experts qui eux aussi dans leur domaine Ă©taient des sceptiques, je vous laisse juge de lâĂ©paisseur des Ăąneries affirmĂ©es et de leurs
conséquences.
Je ne comprends pas c’est un argument de quoi ?Â
Je peux vous citer des tonnes d’experts (vous venez d’en avoir une dĂ©monstration) croyant en quelque chose et qui dĂ©bitent des anneries Ă la pelle …
Voyez-vous je prends une information, ce qu’on me dit, puis je regarde de prĂšs, je n’ais pas d’a priori, je vĂ©rifie, rĂ©flĂ©chis, etc, et de croyant je suis passĂ© Ă sceptique.
Sans haine ni rien, juste depuis toujours j’essaie d’approcher la rĂ©alitĂ© et tant pis si ce n’est pas celle que j’attendais.
Je pense que c’est la bonne dĂ©marche, encore faut-il accepter la rĂ©alitĂ©, quelle qu’elle soit.Â
Bonjour Monsieur Donnadieu,
Voyez-vous, il n’y a que les imbĂ©ciles qui ne changent pas d’avis ! Et vu quâen toute modestie je me sais dâune intelligence un peu supĂ©rieure Ă la moyenne, jâai jugĂ© vos arguments sur la
note interne du SGDSN tellement convaincants, que jâai purement et simplement supprimĂ© ce passage de mon blog, non sans en prĂ©ciser la raison, eu Ă©gard aux Ă©lĂ©ments que vous fournissez. Comme
vous pouvez le constater, je ne suis pas obtu !
Vous avez parfaitement le droit dâĂȘtre un ufoseptique, compte tenu que lâufologie câest comme un iceberg, on ne voit que la partie immergĂ© c’est-Ă -dire celle qui est le plus mĂ©diatisĂ©e parce que
la plus ridicule ! CQFD !
Rien de tel pour juger du sĂ©rieux du contenu dâun site, celui qui vous hĂ©berge en l’occurence : « Pangolia.com » que dâaller jeter un coup
dâĆil sur ce quâil Ă©crit sur des sujets que je connais parfaitement ! Quand jâouvre ce PDF sur les
crop-circles et que je lis votre dĂ©monstration, je ne peux mâempĂȘcher de penser que cette dĂ©monstration soi-disant scientifique est vraiment farfelue ! Elle me fait penser Ă ces
« démonstrations » qui prouvent que jamais les Américains ne sont allés sur la Lune, que tout a été tourné en studio.
Que rĂ©pondez vous, vous l’ufo-sceptique Ă la publication des archives nationales Anglaises dĂ©classifiĂ©es ! LĂ il est difficile de parler de faux puisque tous ces documents Ă©manent, soit du
gouvernement Anglais ! Soit de documents échangés entre les Gouvernements Américain et Anglais ! CQFD !
Voir l’article : « ROSWELL : Le crash et les rĂ©cupĂ©rations confirmĂ©s par les
archives nationales Anglaises «Â
Vous ĂȘtes un sceptique câest trĂšs honorable ! Voici une longue sĂ©rie dâexperts, de vrais experts qui eux aussi dans leur domaine Ă©taient des sceptiques, je vous laisse juge de lâĂ©paisseur
des Ăąneries affirmĂ©es et de leurs consĂ©quences. Et encore il ne sâagit que du domaine militaire :
« Paroles
d’experts ». ISBN 2735701085
Comment la France stoppera la machine de guerre allemande :
« En quittant MontmĂ©dy, nous arrivons dans les forĂȘts des Ardennes. Si certains prĂ©paratifs sont faits, elles sont impĂ©nĂ©trables […J Ce secteur n’est pas
dangereux. ». MarĂ©chal PĂTAIN, ministre de la Guerre et ex-commandant en chef des armĂ©es françaises (7 mars 1934).
« L’armĂ©e française est toujours la puissance de combat la plus forte en Europe ». Time (12 juin 1939).
« Les tanks des Allemands seraient dĂ©truits en rase campagne derriĂšre nos lignes en supposant qu’ils pĂ©nĂštrent aussi loin, ce qui est douteux. »
 Général A.L. GEORGES, major général des Armées (1939).
« Il n’y a pas de mesures urgentes Ă prendre pour le renforcement du secteur de Sedan ». GĂ©nĂ©ral Charles HUTZINGER, commandant de la
2earmée française (13 mai 1940).
« Une guerre entre le japon et les Ătats-Unis n’est pas dans le domaine du possible ». Major Fielding ELIOT, auteur
et spécialiste des sciences militaires. « The impossible war with Japan » in The American Mercury (septembre 1938).
« Le japon ne rejoindra jamais l’Axe ». GĂ©nĂ©ral Douglas McAxTxux (27 septembre 1940).
Lors d’un dĂźner Ă Manille, la nuit prĂ©cĂ©dant l’annonce par les journalistes du ralliement du japon Ă l’Axe.
« Seule l’hystĂ©rie entretient l’idĂ©e que […] le japon songe Ă faire la guerre contre nous ». John Foster Dulles, homme de loi et
diplomate américain (1941).
« Personne aujourd’hui ne craint qu’une flotte japonaise puisse assener un coup inattendu sur nos possessions du Pacifique ». « La radio
rend cette surprise impossible ».
Josephus DANIELS, ancien secrétaire américain de la Marine (16octobre 1922).
« Une attaque japonaise sur Pearl Harbor est une impossibilité stratégique ». Major Fielding EtlioT, auteur et spécialiste des sciences
militaires, « The impossible war with Japan » in The American Mercury (septembre 1938).
« Allons, ne vous occupez pas de cela… Ce n’est rien ». Lieutenant Kermit TYLER, officier de service au centre d’information d’Hawaii
(7 dĂ©cembre 1941).  AprĂšs qu’il eut Ă©tĂ© informĂ© qu’un signal radar faisait apparaĂźtre 50 avions survolant Oahu Ă presque 180 miles Ă l’heure Le 7 dĂ©cembre 1941 Ă 7 h SS, la base navale de
Pearl Harbor était attaquée par les japonais.
« Messieurs, vous nous parlez d’artillerie lourde ? GrĂące Ă Dieu, nous n’en avons pas ! Ce qui fait la force française, c’est la lĂ©gĂšretĂ© de nos
canons ». GĂ©nĂ©ral Rotrtne, reprĂ©sentant de l’Ă©tat-major gĂ©nĂ©ral de l’armĂ©e (1909).
La mitrailleuse : « Ne vous mĂ©prenez pas, cette arme ne changera absolument rien ». Le gĂ©nĂ©ral en chef de l’infanterie française,
rejetant devant le Parlement l’importance de la mitrailleuse dans une guerre (1910).
« La mitrailleuse est une arme grossiÚrement surestimée ». Maréchal Douglas HAIG au début de la PremiÚre Guerre mondiale (vers 1914).
Le mousquet : L’arc est une arme simple, les armes Ă feu sont des choses trĂšs compliquĂ©es qui sont hors d’Ă©tat de marche la plupart du temps.
sir John SMITH (1591).
Il recommandait à « l’English Privacy Council » l’usage de l’arc, le mousquet Ă©tant une folie.
« Le transport par chemin de fer sera responsable de l’Ă©masculation de nos troupes et les privera de l’option des grandes marches qui ont jouĂ© un
rÎle si important dans le triomphe de nos armées ».
François ARAGO (1836).
« Les avions sont des jouets intéressants, mais sans valeur militaire ». Maréchal Ferdinand FOCH, professeur de stratégie militaire et
commandant de l’Ăcole supĂ©rieure de guerre (1911).
« Les forces aĂ©riennes, par elles-mĂȘmes, ne feront jamais Ă de grandes citĂ©s ce que Rome fit de Carthage ou ce que les Assyriens firent de
Jérusalem ».
Arlington B. CONWAY, The American Mercury (février 1932).
Tanks : « Un joli jouet mécanique ». Lord KITCHENER, ministre anglais de la Guerre (vers 1917).
« Quant aux tanks, qui sont supposés par quelques-uns nous apporter un raccourcissement des guerres, leur inaptitude est frappante ».
MarĂ©chal Philippe PĂTAIN, prĂ©face d’un livre du gĂ©nĂ©ral CHAUVINEAU, Une invasion est-elle possible? (1939).
« Plus improbable et plus imaginative qu’une histoire de Jules Verne ».
Sir Compton DOMBALE, amiral britannique, rĂ©agissant Ă la lecture de « Danger » de sir Arthur CONAN DOYLE. Doyle craignait que l’Angleterre ne fĂ»t victime d’un blocus par des sous-marins
d’une nation hostile.
Les satellites : « C’est un morceau de fer que presque tout le monde pourrait lancer ».
Contre-amiral BENIVETT, chef des opérations navales américaines, interview à NBC Télévision (4 octobre 1957).
« Cette idĂ©e est si dĂ©nuĂ©e de sens et si irrĂ©alisable que je suis prĂȘt Ă rester sur le pont d’un navire de combat pendant que ce crĂ©tin essaiera de
l’atteindre depuis les airs ». Newton D. BAKER, membre du secrĂ©tariat amĂ©ricain Ă la Guerre. (1921). Il niait l’utilitĂ© de l’avion lors des affrontements navals.
« Il n’est pas possible […j de concentrer assez d’avions munis de charges militaires au-dessus d’une ville pour ensuite la
détruire ». Colonel John W. THOMASON Jr., auteur américain et officier du corps des marines (novembre 1937).
« Une erreur commune est faite quand on suppose que les machines volantes pourraient ĂȘtre utilisĂ©es pour larguer en temps de guerre de la dynamite
sur un ennemi ». William Henry PICKERING, astronome Américain au Harvard College Observatory, in Aeronautics (1908).
« Affirmer que l’aĂ©roplane va « rĂ©volutionner » le combat naval dans le futur, cela relĂšve de l’exagĂ©ration la plus
échevelée ». Scientific American (16 juillet 1910).
« Il est trĂšs improbable qu’un avion, ou une flotte aĂ©rienne, puisse jamais couler ma flotte de vaisseaux de la Navy lors d’une
bataille ».
Franklin D. Roosevelt, ex-assistant du secrĂ©tariat d’Ătat Ă la Marine et lointain cousin de Theodore Roosevelt Jr., lors d’un meeting du Club Kwanis Ă New York (1922).
« Il est significatif qu’en dĂ©pit des prĂ©tentions des fervents de l’aĂ©rien, aucun bateau de combat n’a encore Ă©tĂ© coulĂ© par des
bombes… »
LĂ©gende d’une photo de l’US Arizona (29 novembre 1941). Peu de temps aprĂšs, l’aviation japonaise attaquait Pearl Harbor et dĂ©truisait le navire de combat US Arizona; il entraĂźna avec lui 1102
hommes dans la mort.
C’est tout Ă fait votre droit de chercher Ă prouver que tout est faux Non ce n’est pas ma dĂ©marche encore une fois… Je regarde ce qui est dit, et je regarde si c’est vrai ou faux, la plus part du temps c’est du mensonge, et ce qui reste manque de recherche, de sources, ou de rĂ©flexion. Il n’y a rien, dans aucun crop-circle, qui ait quelque chose que la nature ou une action humaine ne suffirait pas Ă expliquer, pas unseul, et j’attends toujours un exemple. Prenez les crops soit disant trĂ©sssĂ©s, j’ai ecris sur un exemple: lien cassĂ© Non seulement il n’est pas trĂ©ssĂ© comme c’est dit, mais il est tellement complexe qu’il m’a fallut environ 30 secondes pour comprendre coment le faire … Dans ces choses lĂ , si on ne crois pas, si on vĂ©rifie et on rĂ©flĂ©chis, il ne reste pas grand chose, pour ne pas dire rien … Mais ne cherche pas Ă prouver que c’est faux, je cherche Ă savoir si c’est vrai. C’est difĂ©rrent.Â
Le document prĂ©sentĂ© est un faux grossier, de simples vĂ©rifications basiques n’ont mĂȘme pas Ă©tĂ© faites. C’est du grand n’importe quoi!