Décès du Japonais Hiroo ONADA, dernier Samouraï, en guerre jusqu’en 1974.

Déclaré officiellement « tué au combat », on l’appelle : « IKA TA ITA ERE ». « L’esprit vivant de ceux qui sont morts au combat ».

Hiro Onoda déclare en 1973 à une personne essayant de le convaincre de rentrer au pays : « Il m’a demandé pourquoi je ne sortais pas. Je lui ai dit que si la guerre était finie, et que je recevais un ordre m’indiquant d’arrêter le combat, je sortirais. Donc Suzuki a fait venir mon officier.».
RESPECT !

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Le 9 mars 1974, le soldat Hiro Onoda dépose enfin les armes lorsque son supérieur, le major Yoshimi Taniguchi, toujours vivant (!), va à sa rencontre dans la jungle pour lui ordonner d’arrêter de faire la guerre à l’Amérique.

L’ex-officier, devenu libraire, déroule un document qu’il se met à lire à son subordonné revêtu, pour l’occasion, des lambeaux de son uniforme : « La guerre a cessé. L’ordre vous est donné de cesser le combat ».

Pour la petite Histoire, Hiro Onooda a salué de façon tout ce qu’il y a de plus réglementaire, remis son sabre KATANA, son arme (en parfait état de fonctionnement) et pris le chemin du retour.

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Durant près de trente ans, après la capitulation de l’empire nippon, cet officier de renseignement et spécialiste des techniques de guérilla a résisté sur l’île philippine de Lubang, près de Luzon.

On l’y avait envoyé en 1944 avec un ordre formel : ne jamais se rendre et tenir jusqu’à l’arrivée de renforts. Avec trois autres soldats, il a obéi à la lettre à cette instruction pendant des années après le conflit, REFUSANT de croire que le combat avait pris fin.

 Article complet du POINT.FR

Article de PARIS-MATCH.

A l’heure où nos politiciens sont incapables d’enclencher la moindre réforme, voici L’EXEMPLE d’un Homme à qui on n’a pas besoin de greffer une paire de couilles !

« Emmanuel Macron ne s’est pas construit sur des convictions mais sur un pouvoir de séduction. Il n’a pas de colonne vertébrale ». Éditorialistes LCI.

« Quelle différence y a-t-il entre un Homme d’État et un politicien ? L’Homme d’État demande des munitions, le politicien demande des munitions « et en même temps » un taxi« . L’auteur du site.

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