« Guerre des services » : Poursuivi par la police, le chevreuil se réfugie chez les gendarmes & Une histoire de lapins.

 LA DÉPÊCHE DU MIDI : « Poursuivi par la police, le chevreuil se réfugie chez les gendarmes ».

Une autre très bonne histoire racontée sur le « BLOG SECRET DÉFENSE » :

Police/Gendarmerie : une histoire de lapin… juste pour rire… !

« Un Procureur voudrait savoir lequel des quatre services luttant contre la délinquance dans sa circonscription, est le plus efficace. Pour ce faire, il décide de faire procéder à un test « grandeur nature » : 
il fait lâcher un lapin dans les bois de son ressort, à charge pour chaque service de retrouver le lapin.
 – La S.R. (Section de Recherches de la Gendarmerie) vérifie que le lapin figure sur la liste des espèces non protégées, réclame un renfort en personnel, crée une cellule de travail, place des caméras, engage des lapines bien roulées, soudoie des renards, filoche des belettes, truffe les carottes de micros, fait de l’intox dans les clairières, et interroge les plantes et les cailloux.

Après trois mois d’enquête, le PV remis au magistrat conclut : « L’affaire est close, le lapin n’a jamais existé.»
 – Le P.S.I.G. (Peloton de Surveillance et d’Intervention de la Gendarmerie) arrive, encercle le bois, fait une sommation rapide, mitraille tout, met le feu et saccage toute trace de vie. Deux heures après, les Ninjas arborent le cadavre carbonisé du lapin et déclarent : « Mission accomplie.»

   La B.T. (Brigade Territoriale, la plus petite unité de la Gendarmerie) prétexte ne pas savoir ce qu’est un lapin, n’en ayant jamais vu, et propose que la B.R. locale (Brigade des Recherches, unité d’investigation de la Gendarmerie) soit chargée des recherches, puis envoie une patrouille en direction du bois. Le soir même, les gendarmes établissent un bordereau de transmission directe qui précise : « Le lapin a quitté la circonscription. Il se trouve maintenant dans le bois situé en zone Police.»
  – La Police arrive enfin avec son panier à salade, fait une rafle dans une clairière et le lendemain présente au parquet un blaireau salement amoché qui dit :« OK, d’accord, je suis un lapin.»

« Toute ressemblance avec un lapin ou un blaireau existant ou ayant existé ne serait que pure coïncidence… ! ».

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