OVNIS divulgation : « AZTEC, 1948 : Un deuxiéme crash -avertissement- d’OVNI au Nouveau-Mexique 8 mois après ROSWELL.

Ce crash fut longtemps, très longtemps occulté, très bien occulté !!! Il ne fallait pas reproduire le bordel qu’il y avait eu à ROSWELL et qui a mené à créer de toute urgence la CIA !!! : « Les hommes chargés de la récupération étaient des hommes aguerris. Je lui demandais ce qu’il entendait par « hommes aguerris », et sa réponse fut : « Écoutez, ils avaient révélé l’affaire à la presse, avant d’essayer de tout dissimuler. A partir de ce moment-là, ils n’avaient plus droit à la moindre erreur ».

Quand je lui demandais d’être plus clair, George dit : « « Ils avaient émis ce communiqué de presse comme quoi l’Armée avait récupéré un disque volant.

Dépêche AFP  : « UNE : ROSWELL Nouveau-Mexique. 8 juillet 1947 : Une « soucoupe volante » tombe entre les mains des autorités militaires Américaines ». Le 509ème groupe de bombardement de l’aviation américaine annonce qu’il a saisi une soucoupe volante qui sera immédiatement transmise aux autorités supérieures ». AFP.

Dépêche AFP  : « Le mystère des soucoupes volantes. ROSWELL Nouveau-Mexique. 8 juillet 1947 : le lieutenant Warren Haught, officier de la base aérienne chargé des relations avec la presse, a fait une déclaration après la découverte d’une « soucoupe volante » par le commandant J.A MARCEL dans un ranch situé prés de CORONA. Le lieutenant HAUGHT a précisé que les officiers du service de renseignement du 509ème groupe de bombardement de la 8éme armée de l’air, sont entrés en possession d’une « soucoupe volante » grâce à l’aide du propriétaire du ranch du comté de CHAVEZ et du sheriff local ». AFP.

Pour ceux qui ont de la M…. sur les yeux et dans les oreilles,  il est bien écrit : « soucoupe volante » et « les officiers du service de renseignement du 509ème groupe de bombardement de la 8éme armée de l’air,« . Et non pas comme je l’ai entendu sur BTLV : « Un officier de relation publique ». Les américains avaient autre chose à foutre que de créer un poste de relation publique sur la première et unique base atomique du monde à l’époque !!! La base la plus secrète au monde !!!!

Si des types de ce niveau qui pour MARCEL finit sa carrière comme général (tous les officiers montèrent en grade pour acheter leur silence), détenteur à l’époque des seules bombes atomiques, il faut vraiment avoir de la M… sur les yeux et dans les oreilles pour croire qu’ils ont confondu les débris d’une »soucoupe volante » « éparpillée sur au moins 1500m² » avec les débris de ce  ballon météo !!!!!!!!!!!!

Après quoi ils passèrent les jours suivants à éponger l’eau, après que la nouvelle eut fait l’actualité. Plus jamais, il n’était pas question que cela se reproduise. L’opération d’Aztec allait être complètement différente, avec d’autres gens, d’autres procédures. ……………Je présume qu’ils l’ont amené (NDR : le vaisseau spatial) à LOS ALAMOS, parce que quand tout fut terminé, je remarquais qu’un grand nombre d’équipements se trouvaient à LOS ALAMOS, et j’aidais l’un de mes collègues qui travaillait dans la logistique ».

Mais que virent les premiers témoins du crash d’AZTEC

« Un vaisseau lenticulaire et métallique de grandes proportions reposait silencieusement au-dessus de la mesa. Doug expliqua qu’au moment ou les jeunes gens s’approchaient encore, « nous avons réalisé que le vaisseau était lisse, sans joints, rivets, boulons, ni marques de soudure ». Il déclara : « Il semblait avoir été moulé ».

…..Le vaisseau était en aluminium brossé, semblait très lisse, mais ce n’était pas de l’aluminium hautement poli tel que vous le voyez sur un avion ».

« Doug décrivit le vaisseau comme ayant un diamètre de 30 mètres, avec une section surélevée au sommet. La base du vaisseau présentait aussi une protubérance. Il décrivit le vaisseau comme ayant « une coupe très mince », entre six et sept mètres de hauteur, mais très fine aux extrémités extérieures. » …..le bord extérieur présentait d’étranges « anneaux de couleur dorée, trois, si je m’en souviens correctement qui entouraient intégralement le bord extérieur du disque ».

« ………les fenêtres ou hublots, ressemblaient à des miroirs jusqu’à ce que vous regardiez de plus prés ; vous pouviez alors regarder à travers ». Il se rappelait que des années plus tard, quand les lunettes de soleil devinrent populaires, elles lui rappelaient toujours les fenêtres sur le vaisseau.

« ………….l’une des fenêtres ou hublots était fracturée, le trou était de la taille d’une pièce de monnaie. En regardant à travers le hublot, Doug et Bill virent deux petits corps « penchés au-dessus de ce qui semblait être une sorte de tableau de bord ».

« …….Doug dit que les corps, qui ne bougeaient pas et ne montraient aucun signe de vie, étaient carbonisés, couleur brun foncé. « Je veux dire par là qu’ils semblaient avoir été exposés à une forte chaleur ». …..Quelques jeunes travailleurs glissèrent leurs têtes à l’intérieur du vaisseau, ils dirent à Doug qu’il y avait d’autres corps sur un autre niveau. Doug précisa que, selon ce qu’il avait pu voir, l’intérieur du vaisseau n’était pas calciné ».

Mon commentaire : Au même titre que ROSWELL fût un crash délibéré ayant pour finalité de prévenir les premiers créateurs-utilisateurs de l’arme atomique qu’ils devaient utiliser cette énergie avec modération, le crash d’AZTEC (8 mois après celui de ROSWELL) fût un second avertissement sans frais… !

Ce qui suit est MON ANALYSE et c’est la première fois dans l’histoire de l’ufologie que ce crash d’AZTEC est abordé dans sa dimension POLITIQUE !

Huit mois après le crash délibéré de Roswell, le jour de la fête nationale Américaine : « Independance day », les officiels Américains ont-ils bien compris le message qui leur avait été adressé et que JG GRESLE fut le premier et le seul à énoncer : « Il est possible que le message que les visiteurs souhaitaient transmette aux autorités américaines ait été finalement très simple et très explicite, bien qu’utilisant un moyen détournée : Vous n’êtes pas confronté à une agence humaine. Vous ne pouvez pas évaluer nos possibilités, mais elles sont très supérieures aux vôtres. Nous savons que vous êtes responsables des destructions des villes Hiroshima et de Nagasaki, effectuées par votre 509ème escadre de bombardement qui est stationné à Roswell. (NDR ! L’endroit le plus secret au monde !). Votre campagne d’essais dans le Pacifique a de nouveau attiré notre attention. Nous surveillons de très prés vos recherches sur les armes atomiques. Nous connaissons parfaitement le lieu où elles se poursuivent. Nous pouvons apparaitre à vos populations où et quand nous le désirons. Si nécessaire nous pouvons faire connaitre notre présence au monde  entier ». ……. » Nous tolérons votre surarmement. Nous acceptons le fait que vous êtes la nation la plus puissante du globe. Nous n’entravons pas vos recherches et la constitution de votre arsenal militaire. Vos buts actuels ne nous paraissent pas trop ambitieux ».

NON ! Les officiels Américains n’avaient toujours pas compris le sens politique du message qui leur avait été adressé sous la forme d’un crash délibéré de vaisseau extra-terrestre. Les officiels US pensaient à un simple accident ! Ils n’allaient pas être déçus !

Il fallut donc un deuxième avertissement encore plus symbolique et encore plus explicite !!! Nonobstant les « contacts » éventuels entre les deux crashs et le débriefing du pilote (voir l’article sur l’infirmière de Roswell).

AZTEC, AZTEC !!! Ce nom tournait dans ma tête depuis plusieurs jours ! Le nom du lieu du crash devait signifier quelque chose ! AZTEC doit normalement être la traduction de AZTÈQUE, mais ça me paraissait trop gros, énorme, car je pressentais le message !

BINGO ! AZTEC est bien la traduction anglaise de Aztèque ! TOUT EST SIMPLE, LUMINEUX ! Quelle est la particularité de la CIVILISATION Aztèque ? Celle d’avoir périt suite à un ETHNOCIDE provoqué par l’arrivée brutale des Espagnols !!!

C’est quoi un ethnocide ? Définition de LINTERNAUTE : « L’ethnocide est un terme pour désigner la disparition ou la destruction de l’identité sociale et culturelle d’un groupe d’hommes et de femmes par un autre groupe d’individus. L’ethnocide peut se faire dans la violence ou par un changement économique et social très brutal ».

Ethnocide !!! Le mot qui revient en permanence en ufologie dés que l’on parle de contacts publics entre des Terriens et une civilisation extra-terrestre !

Voilà le message symbolique et politique du crash d’Aztec. Mine de rien, je suis le seul à avoir formulé aussi clairement le pourquoi de ce crash.

Ce livre est une enquête, contre-enquête qui comme le livre sur les enfants de Roswell a pris plus de 20 ans à ses auteurs.

Ce qui suit fait partie d’un article plus complet qui n’est plus disponible

Déclaration sous serment de WALTER G. HAUT « sur son lit de mort » où il affirme avoir vu le vaisseau spatial et les corps. En décembre 2002, Haut a complété une déclaration sous serment faite et certifiée devant notaire, elle a été scellée et ne devait pas être révélée au public avant son décès.

DÉCLARATION SOUS SERMENT SCELLÉ de WALTER G. HAUT en 2002
DATE : 26 décembre 2002
TÉMOIN : Chris Xxxxxx
NOTAIRE : Beverlee Morgan

(1) Mon nom est Walter G. Haut.

(2) Je suis né le 2 juin 1922

(3) Mon adresse est 1405 W. 7ème rue, Roswell, NM 88203

(4) je suis retraité.

(5) En juillet 1947, j’étais en poste à la base aérienne militaire de Roswell, au Nouveau-Mexique, comme officier de relations publiques. Je venais de passer le week-end du 4 juillet (samedi 5 et dimanche 6) à ma résidence privée à environ 10 milles (16 km) au nord de la base, située au sud de la ville.

(6) J’ai appris, au milieu de la matinée de mon retour au service, le lundi 7 juillet, que quelqu’un avait fait état de restes d’un engin qui s’était écrasé. J’ai été informé que le Major Jesse A. Marcel, chef du renseignement, avait été envoyé par le Commandant de la base, le Colonel William Blanchard, pour enquêter.

(7) En fin d’après-midi le même jour, j’ai appris que de nouveaux rapports civils relatifs à un second emplacement au nord de Roswell étaient arrivés. J’ai passé le reste de l’après midi à mes tâches quotidiennes, sans noter d’éléments nouveaux.

(8) Mardi matin, le 8 juillet, j’ai assisté à la réunion habituelle du personnel à 7h30. En plus de Blanchard et Marcel il y avait également le Capitaine Sheridan Cavitt du CIC [Service de Contre-Espionnage] ; le Colonel James I. Hopkins, Chef des Opérations ; le Lieutenant Colonel Ulysse S. Nero, officier d’Approvisionnement ; et de Carswell AAF de Forth Worth au Texas, le chef de Blanchard. Le général de Brigade Roger Ramey et son chef d’équipe, le Colonel Thomas J. Dubose, étaient également présents. Le sujet principal de la discussion initiée par Marcel et Cavitt concernait un champ de débris dans le comté de Lincoln à environ 75 miles (120 km) au nord-ouest de Roswell. Nous avons eu droit à un briefing préliminaire de Blanchard au sujet du deuxième emplacement à environ 40 miles (65 km) au nord de la ville. Quelques débris ont été passés autour de la table. Je n’avais jamais vu un tel matériau de toute ma vie. Des morceaux qui ressemblaient à des feuilles métalliques, de l’épaisseur d’une feuille de papier mais extrêmement résistants, et des morceaux avec des inscriptions inhabituelles sur leur longueur circulaient de mains en mains tandis que chacun donnait son avis. Personne ne fut capable d’identifier les débris du crash.

(9) L’une des principales interrogations était de savoir si nous nous devions rendre publique ou pas la découverte. Le Général Ramey a proposé un plan qui, je crois, avait été conçu par ses supérieurs au Pentagone. L’attention devait être détournée de l’emplacement plus important au nord de la ville, tout en confirmant l’autre endroit. Trop de civils étaient déjà impliqués et la presse était déjà au courant. Je n’étais pas complètement informé de la manière dont l’affaire serait conduite.

(10) Vers 9h30, le Colonel Blanchard a téléphoné à mon bureau et a dicté le communiqué de presse déclarant que nous avions en notre possession un disque volant provenant d’un ranch au nord-ouest de Roswell, et disant que Marcel expédiait le matériel par avion vers le quartier général. Je devais livrer le communiqué aux stations de radio KGFL et KSWS, et aux journaux le Daily Record et le Morning Dispatch.

(11) Au moment où le communiqué de presse fut transmis, mon bureau a été inondé d’appels téléphoniques du monde entier. Les messages s’empilaient sur mon bureau, et le Colonel Blanchard a suggéré que je rentre chez moi pour me « planquer » plutôt que d’affronter les médias.

(12) Avant de quitter la base, le Colonel Blanchard m’a emmené personnellement au Bâtiment 84 [connu sous le nom de hangar P-3], un hangar pour les B-29 situé du côté est du tarmac. En approchant du bâtiment, j’ai observé qu’il était étroitement gardé, aussi bien au-dehors qu’à l’intérieur. Une fois à l’intérieur, j’ai été autorisé, à une distance de sécurité, à observer pour la première fois les objets récupérés juste au nord de la ville. Cela faisait environ 12 à 15 pieds (3,5 à 4,5m) de longueur, pas autant en largeur, environ 6 pieds (1,8m) de haut, et plutôt en forme d’oeuf. L’éclairage était faible, mais sa surface m’a semblée métallique. Aucune fenêtre, ni hublot, ni aile, ni section de queue, ni même un train d’atterrissage n’étaient apparents.

(13) Toujours à distance, j’ai pu voir deux corps sous une bâche en toile. Seules les têtes dépassaient de la bâche, et je ne pouvais rien voir du reste des corps. Les têtes m’ont semblées plus grandes que la normale, et la disposition de la bâche suggérait qu’ils avaient la taille d’un enfant de 10 ans. Plus tard, dans le bureau de Blanchard, il étendra son bras à environ 4 pieds (1,2m) au-dessus du sol pour indiquer leur taille.

(14) J’ai été informé qu’une morgue provisoire avait été installée, pour y garder les corps récupérés.

(15) J’ai été informé que l’épave n’était pas « chaude » (radioactive).

(16) A son retour de Fort Worth, le Major Marcel m’a raconté avoir apporté les débris au bureau du Général Ramey, puis être revenu de la salle des cartes pour constater que des morceaux de ballon météo et de cible radar leur avaient été substitués. Marcel a été très contrarié de cette situation. Nous n’en avons plus discuté.

(17) J’ai été autorisé à faire au moins une visite à l’un des sites de récupération pendant le nettoyage militaire. Je suis retourné à la base avec qulques débris que j’ai alors exposés dans mon bureau.

(18) J’ai été informé que deux équipes distinctes reviendraient périodiquement sur chaque emplacement plusieurs mois après à la recherche d’indices restants.

(19) Je suis convaincu que ce que j’ai observé était une sorte de vaisseau et son équipage venus de l’espace

(20) Je n’ai pas été payé et n’ai reçu quoi que ce soit de valeur pour faire cette déclaration, et c’est la vérité selon mes souvenirs.

Signé : Walter G. Haut
Le 26 Décembre 2002

Signature constatée par le témoin:
Chris Xxxxxxx.

DÉCLARATION SOUS SERMENT SCELLÉ DE WALTER HAUT EN 1993

(1) Mon nom est Walter Haut

(2) Mon adresse est :

(3) je suis retraité.

(4) En juillet 1947, j’étais en poste à la base aérienne militaire de Roswell en tant que responsable des relations publiques. Vers environ 9h30 le matin du 8 juillet, j’ai reçu un appel du Colonel William Blanchard, Commandant de la base, qui me disait qu’il avait en sa possession une soucoupe volante et certains de ses morceaux. Il disait que cela provenait d’un ranch au nord-ouest de Roswell, et que le responsable du Renseignement de la base, le Major Jesse Marcel, allait se rendre en avion avec le matériel à la base de Fort Worth.

(5) Le Colonel Blanchard m’a demandé de rédiger un communiqué, et de l’envoyer aux deux journaux et aux deux stations de radio de Roswell. Il souhaitait réserver la primeure de l’histoire aux médias locaux. Je suis allé d’abord à KGFL, puis à KSWS, puis au Daily Record et finalement au Morning Dispatch.

(6) Le lendemain, j’ai lu dans le journal que le Général Roger Ramey de Fort Worth avait déclaré que l’objet était un ballon météo.

(7) Je crois que le Colonel Blanchard a vu le matériel, parce qu’il avait eu l’air convaincu de ce dont il s’agissait. Il n’y a aucun rique qu’il l’ait confondu avec un ballon météo. Ni que le Major Marcel ait pu se tromper à ce sujet.

(8) En 1980, Jesse Marcel m’a dit que le matériel photographié dans le bureau du Général Ramey n’était pas le matériel qu’il avait récupéré.

(9) Je suis convaincu que le matériel récupéré était un certain type de vaisseau venu de l’espace.

(10) Je n’ai pas été payé et n’ai reçu quoi que ce soit de valeur pour faire cette déclaration, et c’est la vérité selon mes souvenirs.

Signé : Walter G. Haut
5-14-93

Signature constatée par le témoin :
M. Littell (?)

[Source : Karl Pflock, Roswell en Perspective, 1994]

Traduction : Xavier D.

Print Friendly, PDF & Email

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.