« En juin 2005, quatre hommes des Navy Seals sont infiltrés au cœur de la province afghane de Kounar, à proximité de la frontière pakistanaise, avec pour mission de capturer ou de neutraliser Muhammad Ismail, un chef taliban retranché avec son escorte dans des montagnes particulièrement inhospitalières.
Mais quelques heures seulement après leur infiltration, les quatre hommes tombent dans une embuscade conduite par plus d’une centaine de talibans. Malgré l’appui de renforts héliportés et une lutte acharnée à 3 000 mètres d’altitude, les combats prennent une tournure dramatique. À la nuit tombée, dix-neuf Américains gisent sur le terrain. Morts.
Pour le Navy Seal Marcus Luttrell, blessé durant les combats et unique rescapé de cette embuscade, il s’agit désormais de survivre, en ne comptant que sur lui-même, sans imaginer l’extraordinaire revirement que lui réserve le destin. « De la pire journée de l’armée américaine en Afghanistan émerge une histoire de morale – les bons choix, les mauvais choix – et de sacrifice. » The Washington Post.
Dans la nuit du 6 au 7 novembre 2004, les forces américaines et irakiennes donnent l’assaut au bastion islamiste de Fallouja, une ville de près de 300 000 habitants située à une soixantaine de kilomètres de Bagdad, au cœur du triangle sunnite baassiste.
Prévenus à l’avance de l’offensive américaine, les trois quarts des habitants ont fui la ville, mais plus de 3 000 combattants islamistes de différentes nationalités ont décidé de s’y retrancher et de faire de Fallouja une forteresse imprenable. Fanatiques et prêts à se battre jusqu’à la mort, ils ont transformé la « cité des Mosquées » en un labyrinthe létal : voitures piégées, rues minées, souricières, bâtiments barricadés, snipers en embuscade…
Tandis que les hommes de la section d’infanterie mécanisée du sergent-chef Bellavia attendent d’investir la ville, appuyés par leurs chenillés Bradley et leurs chars Abrams, ils ne savent pas encore qu’ils vont passer près de trois semaines à combattre un ennemi invisible et déchaîné.
Je l’ai lu ce livre, il est d’une rare intensité, si vous aimez les récits de guerre. A l’heure où les MARINES Américains réclamés à corps et à cris des Tomahawks Indiens, obligeant leur État-Major à commandés en « crash program » plusieurs milliers de ces haches conçues pour le corps à corps, nous développions nous-autres Français le système Félin (!) à 11 millions d’euros la section équipée. CHERCHEZ L’ERREUR…!!
Cet article date de novembre 2010
Un tomahawk fait officiellement partie de l’équipement des forces US National Stock Number (4210-01-518-7244).
Avril 2025
Extrema Ratio vient de sortir son propre tomahawk
Voici le combat de rue, plutôt maison par maison, porte après porte, tel qu’il s’est -malheureusement- pratiqué durant cette bataille de rue. Après avoir vu et entendu ce récit, vous comprendrez que le FELIN c’est de la roupie de sansonnet !