Élections Présidentielles Américaine : 248 ans de République bananière….

Contrairement à ce nous racontes les CURÉ(É)S DE L’INFO de LCI, FRANCE-INFO ainsi que leurs « spécialistes » et autres « correspondants » ou les  médias d’État, les élections présidentielles Américaines ont toutes été truquées depuis 248 ans. Même Jimmy Carter l’ancien Président le reconnais.

Imaginez que dans la très grande majorité des états vous n’avez pas besoin de justifier de votre identité pour voter !!!

Imaginez qu’une loi Californienne INTERDIT, JE DIS BIEN INTERDIT, la production d’une pièce d’identité pour voter !!!!!!!!

Au siècle précédent, pas si loin que ça, les états du Texas mitoyens du Mexique, allaient chercher des hispaniques au Mexique pour les faire voter et ensuite les ramener chez eux….

Bases de données: des fraudes électorales innombrables aux États-Unis. Les militants trumpistes assurent que des fraudes électorales massives justifient la contestation du résultat de l’élection de 2020. Quelles sont les bases de données existantes qui recensent les irrégularités sur lesquelles ils peuvent s’appuyer ?

Des élections présidentielles américaines sous le signe de la fraude ?
Le 5 novembre, le monde saura qui, de Donald Trump ou de Kamala Harris, sera le prochain président de la « première démocratie du monde ». Démocratie, vraiment ? D’après David Lehn, auteur de trois articles sur le sujet pour Causeur, c’est sans compter les multiples sources de fraude électorale qui pourraient venir entacher la sincérité du scrutin.

Avis d’experts : le système électoral américain est le pire qui soi.Le comportement polémique de Donald Trump, après les résultats du scrutin présidentiel de 2020, ne doit pas empêcher de rappeler que le système électoral américain est dénoncé comme chaotique depuis longtemps.

Le système électoral américain: un incroyable fouillis qui favorise la fraude.  Les citoyens américains ont quelques bonnes raisons de douter de la fiabilité de leur système électoral.

Le système électoral américain est un véritable labyrinthe juridique et administratif. Bien loin de garantir une transparence totale, cette structure fragmentée ouvre la porte à des manipulations électorales d’une ampleur insoupçonnée.

Chaque État, chaque comté dispose de ses propres règles, créant un chaos organisé qui favorise les abus de pouvoir. Cette décentralisation permet aux juges locaux d’interpréter les lois à leur guise, donnant ainsi aux responsables électoraux une influence démesurée sur les résultats.

La complexité des codes et des réglementations empêche toute surveillance nationale unifiée, rendant chaque État libre de fixer ses propres critères de validation des votes. L’élection de 2020 a été un révélateur frappant de ces failles structurelles. Sous couvert de la crise sanitaire, le vote par correspondance a explosé, amplifiant les risques de fraude et de manipulation.

Certains comtés contrôlés par les Démocrates se sont montrés particulièrement souples sur les vérifications d’identité, une permissivité qui, loin d’être accidentelle, semblait calculée. Ce système de vote, bien que présenté comme une mesure de protection pour les citoyens, a permis l’entrée d’un nombre inédit de bulletins douteux, souvent sans aucune vérification d’identité dans les zones critiques. Cette manœuvre a offert un avantage stratégique indéniable aux Démocrates dans les États-clés. Les pratiques de fraude électorale aux États-Unis ne datent pas d’hier.

Depuis la fin de l’esclavage, les Démocrates auraient développé des techniques variées, allant du bourrage d’urnes aux intimidations, pour canaliser le vote en leur faveur. Cette tradition de fraude, loin de disparaître, s’est au contraire adaptée aux évolutions sociales et technologiques.

En 2020, les machines de vote Dominion, critiquées pour leur manque de fiabilité, se sont retrouvées au cœur de multiples controverses. Accusées d’avoir été programmées pour favoriser un candidat spécifique, elles ont suscité des suspicions de manipulation électronique dans des États stratégiques, où quelques milliers de voix suffisaient pour faire basculer l’élection. Le vote par correspondance, étendu sous prétexte de sécurité sanitaire, a quant à lui amplifié les possibilités de fraude.

Dans plusieurs bureaux de vote, les contrôles d’identité étaient quasiment inexistants, permettant à des personnes non-éligibles, y compris des migrants, de voter. Le bourrage d’urnes est ainsi devenu une pratique courante, renvoyant l’image d’un système électoral faussé et intentionnellement manipulé. Il ne fait aucun doute que Trump n’a pas perdu l’élection de 2020, mais qu’elle lui a été volée par une manipulation sophistiquée des mécanismes électoraux. Les failles technologiques, l’absence de vérifications et l’exploitation des crises comme alibi pour justifier un vote par correspondance à large échelle ont permis de détourner la volonté populaire.

Ce scrutin, bien loin de représenter une expression démocratique sincère, semble avoir trahi les principes mêmes de la démocratie américaine en sacrifiant la transparence et l’intégrité des urnes pour des intérêts partisans. Ne manquez pas l’analyse de David Lehn, qui décryptera ce sujet dans une émission animée par Nicolas Stoquer, sur GPTV.

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