Sous la plume du journaliste Bruno TESTA du journal « L’UNION », une passe d’armes sévère entre Cécile DUFLOT et le journaliste, qui se termine par cette phrase : « ………Comment voulez-vous faire confiance en une fille (Duflot) qui a appelé sa fille Térébentine parce que son mari est des Landes et qu’il adore l’essence des pins ? Et s’il adorait la vaseli.., elle l’aurait appelée comment ? ».
L’article de « L’UNION L’ARDENNAIS » s’intitule : « Cécile Duflot, tête à claques (suite)… ». COP 21 oblige, l’article a été supprimé !
La page FACEBOOK du journaliste :
Cécile Duflot, tête à claque, épisode 2
Celui du journal LE POINT, s’intitule : « Claire Gallois : « Duflot-la-joie » et se termine par cette phrase :« Elle n’est même pas très Verte. Elle a appelé sa petite fille « Térébentine », un diluant pour peinture et vernis, qui pue et qui pollue. Et si elle avait eu un garçon, elle l’aurait baptisé « Monsanto ? ».