Les accidents DE chasse sont à différenciés des accidents À LA chasse. Les accidents seront ajoutés au « fil de l’eau » c’est à dire les derniers en tête d’article. Un commentaire pour en tirer des enseignements.
« On ne peut pas tuer un homme dans un accident de chasse si on ne va pas à la chasse« . Alfred Bester.
« Parce qu’on ne maîtrise pas le hasard, on ne peut le condamner« . Un sage.
« Il vaut mieux regretter de ne pas avoir tirer que regretter d’avoir tirer ». Un sage.
BILAN DES ACCIDENTS DE CHASSE 2016-2017.
SOURCE : « ONCFS – Réseau sécurité à la chasse ».
SOURCE : « ONCFS – Réseau sécurité à la chasse ».
SOURCE : « ONCFS – Réseau sécurité à la chasse ».
SOURCE : « ONCFS – Réseau sécurité à la chasse ».
Mai 2017 : Nouvelle Calédonie. Un adolescent a dû être évacué vers le Médipôle, blessé à l’abdomen mais conscient, selon les pompiers.
L’accident est survenu après un coup de chasse, dans ce secteur du col des Roussettes (photo d’illustration).
L’accident est survenu après un coup de chasse, dans ce secteur du col des Roussettes. Les faits se sont produits à 15 heures, ce dimanche 7 mai, au sommet du col des Roussettes. Alors qu’il rentrait de la chasse, un adolescent a glissé, son fusil à la main. Le coup est parti. Après avoir touché le bras, la balle a fini sa course dans l’abdomen de son cousin.
Avril 2017 : Un homme âgé de 66 ans a été grièvement blessé à la tête lors d’un accident de chasse survenu dimanche vers midi, à La Chevrolière, au sud de Nantes (Loire-Atlantique), rapporte le journal Ouest France. Son pronostic vital était engagé dimanche soir, selon les médecins du CHU de Nantes.
Selon le quotidien régional, l’homme, un rabatteur qui participait à une battue aux sangliers, aurait reçu, par ricochet, une balle dans la tête, alors qu’il se trouvait sur un chemin d’exploitation au niveau du lieu-dit Chante-Merle. Gravement blessé, il a été évacué inconscient au CHU de Nantes par hélicoptère.
25-26 Février 2017 : À Nuzéjols dimanche matin, un homme âgé de 62 ans est décédé d’une crise cardiaque lors d’une partie de chasse, à Nuzéjouls. Domicilié sur la commune, Michel Treneule s’est effondré dans un chemin forestier. Un chasseur présent à ses côtés est parvenu à le réanimer une première fois, avant que la victime ne retombe en arrêt cardiaque à l’arrivée des pompiers.
18-19 Février 2017 : « C’est un accident de chasse horrible », a confié samedi 18 le maire de Luçay-le-Mâle, Bruno Taillandier, à la Nouvelle République. C’est sur sa commune, située au nord de Châteauroux, dans l’Indre, qu’un jeune homme de 22 ans a tragiquement perdu la vie le jour même lors d’une partie de chasse où il a été accidentellement abattu par son grand-oncle.
Selon les premiers éléments de l’enquête, un groupe de chasseurs de gros gibiers se trouvait en lisière d’un bois, lorsque l’un d’eux a tiré « en commettant deux erreurs », a indiqué Lionel Josserand, substitut du procureur. Ce dernier a précisé que peut-être déséquilibré ou encore aveuglé par le soleil, le tireur a appuyé « sur la détente alors que son canon était dans une mauvaise direction et avec un angle de tir inapproprié ».
« La sécurité, maître mot des chasseurs ». Décès d’un jeune pompier : » Nous sommes sous le choc « . « En tant que président de la Fédération départementale de chasse, j’ai une pensée pour ce jeune homme et toute sa famille », tenait tout d’abord à nous dire, hier matin, Gérard Génichon. Quant aux circonstances de ce drame « seule l’enquête de la gendarmerie les déterminera avec précision. Tout ce que je peux dire, c’est que la sécurité est notre maître mot et que ce type d’accident est très rare, alors que nous regroupons 13.210 chasseurs sur notre département. »
Un Sarladais de 47 ans, grièvement blessé, a dû être héliporté à Bordeaux. Il a été victime d’un tir ayant ricoché. Un accident de chasse s’est produit samedi, vers 15 h 20, sur la commune de Simeyrols, en Dordogne, à l’est de Sarlat-la-Canéda. La victime, un homme de 47 ans natif de Sarlat, a été touché à la fesse par un tir. La gravité de sa blessure a nécessité son transfert par hélicoptère au centre hospitalier Pellegrin, à Bordeaux.
L’accident s’est produit à l’occasion d’une battue. Le tireur, un homme de 52 ans, visait un sanglier lorsque son tir a ricoché.
11-12 février 2017 : Il percute un chasseur : coup du lapin fatal pour le chevreuil. Samedi, dix-sept chasseurs participaient à une battue au chevreuil, à Couffé. En début de chasse, vers 9 h 30, près du village de Bel-Air, un chevreuil traverse la route départementale 164. Le Coufféen Pierre-André Delaneau se trouve dans la parcelle en face, à 1,80 m en contrebas de la route, avec un fusil chargé. « Il est venu me percuter au niveau du ventre et j’ai reculé de quelques mètres, plié en deux », raconte-t-il. Le chevreuil s’est brisé le cou dans le choc et est resté au sol. « Le chevreuil s’est fait le coup du lapin », soulignent les chasseurs. On s’interroge !!!! Faut-il considérer cela comme un accident de chasse ou un accident À LA chasse…!!!
Au lieu-dit Villeneuve à Artenay, dans un champ à proximité d’une ferme, une chasse de régulation a connu un dénouement douloureux, ce vendredi 10 février. Une femme de 75 ans a été blessée à une jambe ; touchée par un plomb. Elle a aussitôt été transportée par hélicoptère à l’hôpital d’Orléans. Son pronostic vital n’est pas engagé.
Ils étaient une trentaine à participer, en fin de semaine, à la dernière chasse en battue de l’année à Urgons. Romain Beyries, écarteur de 18 ans, y participait en tant que membre de l’ACCA (Association communale et Intercommunale de chasse agréée) d’Urgons et habitué de ce type d’événement, confirme de le président de l’ACCA, Michel Poublan. Un plomb aurait ricoché sur un chevreuil et blessé au visage l’écarteur de la ganaderia l’Armagnacaise, qu’il a rejoint après avoir fait ses preuves à la ganaderia De Maynus.
04-05 Février 2017 : Un sanglier a chargé un chasseur de 52 ans, ce dimanche à Soulitré. Dans le coma, l’homme a été transporté à Angers par hélicoptère.
Un homme de 52 ans a été gravement blessé après avoir été chargé par un sanglier, ce dimanche. Le chasseur se trouvait avec des amis et son fils, à Soulitré, commune où il réside. Un peu avant 13 h, le groupe a fait feu sur un sanglier. L’animal s’est réfugié dans un bosquet puis a renversé le quinquagénaire. Celui-ci s’est relevé, sans blessures apparentes, avant de s’effondrer quelques instants plus tard.
Nouvelle Calédonie : A Bourail, un homme a été mortellement blessé par balle ce matin.
Âgé de 37 ans, il était parti seul pour un coup de chasse. Il a été retrouvé agonisant vers 9H30 à proximité du camp de Nandaï.
Alertés, les secours n’ont rien pu faire, le chasseur est décédé une heure après.
L’enquête confiée à la brigade de Bourail devra déterminer les circonstances de ce drame.
21-22 Janvier 2017 : Un accident de chasse s’est produit ce samedi après-midi dans le Clunysois, dans un bois séparant deux villages : Buffières et Curtil-sous-Buffières. Selon les premiers éléments, un chasseur a été blessé au bras par une balle tirée par l’un de ses collègues. La balle aurait fait ricochet avant de blesser la victime.
La femme qui a été victime d’un tir de carabine samedi à Embourgues, lieu-dit situé à 2 km de Moustiers, va mieux, et ses jours ne sont pas en danger. Lundi, les auditions se sont poursuivies. Les rumeurs de mise en examen du chasseur pour « blessure involontaire avec incapacité supérieure à trois mois lors d’un acte de chasse par violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité ou de prudence » ont été démenties hier après-midi par le procureur Kellenberger.
Ce samedi, en fin de matinée, un homme de 56 ans a été sérieusement blessé par balle en marge d’une chasse au sanglier sur la commune de Nonac. Quand les pompiers du centre de secours de Montmoreau sont arrivés au milieu des bois, vers 11h, l’homme, domicilié à Ruelle, présentait une plaie importante à l’abdomen. Chasseur lui-même, il s’était rendu dans les bois pour repérer une chasse future. Sa prospection l’a conduit à se rapprocher du Domaine de La Faye, chasse privée de 500 hectares où se déroulait une chasse au sanglier. Une balle de gros calibre a ricoché.
15-16 Janvier 2017 : Une partie de chasse s’est mal terminée samedi matin, à La Besace, à une vingtaine de kilomètres au sud de Sedan. Des chasseurs participaient à une battue, quand ils auraient débusqué un sanglier. Dans des circonstances encore floues, l’animal, vraisemblablement blessé, aurait chargé pour tenter de s’enfuir. Il a alors attrapé un chasseur au niveau de l’une de ses jambes. L’homme blessé serait un habitant de La Besace, âgé d’une trentaine d’années. Il aurait été grièvement blessé, certaines sources parlaient ce dimanche midi d’une atteinte du nerf sciatique. Constatant la gravité de la blessure, les autres chasseurs ont alerté les secours.
08-09 Janvier 2017 : Un chasseur âgé de 48 ans a été grièvement blessé après avoir été touché à l’abdomen, ce dimanche 8 janvier 2017, vers 10 h 30. L’accident de chasse s’est déroulé près de la commune du Détroit, à quelques kilomètres de Falaise, au Détroit dans le Calvados. Alors qu’il chassait dans les bois, il aurait reçu une balle de calibre 12, munition utilisée pour la chasse au sanglier. Cette balle proviendrait d’un autre chasseur qui se trouvait alors dans un champ. Touché à l’abdomen, il a été transporté à l’hôpital de Falaise. Il est décédé des suites de ses blessures, lundi 9 janvier 2017.
Dimanche 8 janvier 2017, un homme a été grièvement blessé au bras, touché par une balle lors d’une partie de chasse à Giverny, près de Vernon (Eure). Vers 12h30, il aurait été touché au bras par une balle qui a ricoché, alors que lui et ses compagnons de chasse encerclaient des sangliers. Transporté en urgence par son fils à l’hôpital de Vernon, il a ensuite été transféré vers un autre centre hospitalier à Aubergenville (Yvelines). Là-bas, la victime a subi une chirurgie du bras. Néanmoins, le chasseur âgé de 51 ans pourrait perdre l’usage de son membre.
Ce samedi matin, peu après 10 heures, un chasseur a été blessé lors d’une battue au sanglier sur la commune de Bouilhonnac, près de Trèbes. C’est au lieu-dit Le Moulin que l’accident est survenu. Les gendarmes de Trèbes, présents sur les lieux, ont recueilli les multiples témoignages de la dizaine de chasseurs qui participaient à cette battue, sans pour l’heure pouvoir se prononcer sur les circonstances précises de l’accident et dire notamment si la balle avait ricoché avant de toucher le sexagénaire.
04 Janvier 2017 : Étang de Champéron, à Martizay. Lors d’une chasse aux canards, mercredi, un homme a reçu des plombs dans une jambe. Il a été opéré et ses jours ne sont pas en danger. Il est 18 h. La nuit est déjà tombée, lorsqu’un coup de feu retentit devant le plan d’eau. Un homme tombe, sérieusement blessé à la jambe gauche. L’arme se serait enrayée provoquant le tir. ………Quant aux circonstances, et selon les déclarations de l’auteur du coup de feu, une femme, « l’arme s’est enrayée et le coup de feu est parti malencontreusement », indique le lieutenant Rodier. Lors de cette action de chasse, il n’y avait que deux chasseurs distants l’un de l’autre d’environ cinq mètres.
31-01 Décembre. Dramatique accident de chasse en Loire-Atlantique, ce dimanche. Lors d’une partie de chasse, une jeune femme de 25 ans a tué son père à Blain, à une trentaine de kilomètres de Nantes, ont indiqué les pompiers à l’AFP. Selon les premières constatations et les premiers témoignages, a expliqué la procureur de Saint-Nazaire, Fabienne Bonnet, la jeune femme a voulu tirer sur le sanglier qui la chargeait mais elle aurait trébuché. Le coup de feu est alors parti intempestivement du fusil et la balle a atteint le père de la chasseuse, âgé de 50 ans.
17-18 Décembre 2016 : Battue dans les Aspres : un chasseur blessé par un sanglier, trois chiens morts. Ce samedi, lors de la battue de Castelnou-Camélas, un chasseur a été blessé par les défenses d’un sanglier de 110 kg. Il a dû être transporté à l’hôpital par les pompiers. Trois chiens ont été tués et trois autres blessés. Samedi, une fois les traces (les empreintes au sol laissées par les sangliers pendant leurs déplacements nocturnes) faites et de retour au local de chasse : chacun a fait son rapport à Ange, le chef de battue qui, en accord avec les piqueurs, choisit une parcelle. Puis les postes sont attribués. Alors vient le cérémonial des règles de sécurité où tous les intervenants de la battue sont conviés impérativement, les postés montent dans leurs véhicules et se dirigent en silence vers les postes attribués, les piqueurs Antoine et Jean équipent leurs chiens de clochettes et pour les plus petits, ceux de Jean, de gilets de protection.
Les chiens sont lâchés et la musique commence bientôt : un tir ensuite un second. Soudain les chiens de Jean se mettent au ferme dans un creux, ce dernier sans hésitation se dirige vers le ferme mais suite à la pluie de la veille, le sol est rendu glissant.
À l’approche du ferme, il glisse et c’est à ce moment que le sanglier sort de son ferme et charge Jean qui sera blessé par les défenses d’un gros mâle de 110 kg, lui occasionnant deux blessures. Ce dernier demande de l’aide et les chasseurs les plus proches s’engagent dans la végétation.
Heureusement Victor, pompier, est sur les lieux dans les premiers, les pompiers de Thuir se rendent sur place très vite et prennent en charge le blessé.
Jacques Guidici : « Je profite de ce fait pour renouveler à la fédération des chasseurs des P.-O. la demande de stages de secouriste. Nous sommes les premiers sur les lieux à prodiguer les premiers soins. La journée de chasse fut gâchée, écourtée, le bilan est lourd : 3 chiens morts, 3 chez le vétérinaire et l’ami Jean à l’hôpital. Seule satisfaction, Gérard a mis fin aux destructions de ce sanglier. Toute l’équipe par ma voix exprime sa reconnaissance à Victor et aux pompiers de Thuir ».
Commentaire : D’abord un « coucou » à Thuir où je suis allé à l’école pendant 3 ans. Ce blog aura 9 ans le 27 décembre et depuis que j’ai commencé à écrire des articles j’ai écrit ceci : « Il faut créer une qualification « Sauveteur-Secouriste de la Chasse ». Dans chaque société de chasse, il faut animer 2 fois dans la saison, une session de sensibilisation aux premiers secours. Le plus important : apprendre à stopper une hémorragie, sauvegarder la victime en attendant les premiers secours. Choisir deux ou trois chasseurs volontaires parmi les plus assidus aux battues et de préférence des piqueurs qui se déplacent plus rapidement, porteurs d’une trousse d’urgence, composée en autres et obligatoirement du garrot C.A.T ».
Deux morts dans des accidents de chasse ce dimanche :
- Un homme de 55 ans a péri dans une battue en Dordogne, tandis qu’un autre de 43 ans a été mortellement touché dans le Tarn-et-Garonne.
Un chasseur expérimenté a été tué dimanche en fin d’après-midi lors d’une battue au sanglier à Montrem (Dordogne), le deuxième dans la région depuis début novembre, a-t-on appris auprès de la mairie et de la gendarmerie.
L’homme, âgé de 55 ans, a été mortellement touché par une balle en plein thorax vers 16h30 dans une clairière, à 50 mètres d’une route communale près de Saint-Astier. - Par ailleurs, un homme de 43 ans a été tué dimanche après-midi dans un accident de chasse à Bressols (Tarn-et-Garonne), a-t-on appris auprès des gendarmes et des pompiers. Parti seul chasser la bécasse, Jérôme Prête était vraisemblablement accroupi quand il a été touché dans ce champ situé au lieu-dit Pastenc. Le tir mortel serait parti d’un groupe de trois chasseurs tarnais présent à proximité qui chassait sur les terres longeant l’A20, entre la station essence de Nauze Vert et le péage de l’autoroute. Les secours appelés sur place n’ont pas réussi à réanimer la victime qui est décédée sur place.
- CORSE : Un chasseur à été atteint à la gorge par du petit plomb dans le courant de l’après-midi alors qu’il s’adonnait à la chasse dans le secteur du Pont de la Pierre sur le territoire de la commune d’Ocana. Aussitôt l’alerte était donnée et la victime, âgée d’une trentaine d’années, prise en charge par le Samu 2A, était évacuée en urgence sur le centre hospitalier de la Miséricorde. Le coup serait parti après que le chasseur ait posé son fusil à côté de lui. Le fusil aurait alors glissé, la décharge atteignant le chasseur à bout portant à la gorge avec les conséquences que l’on sait.
10-11 Décembre 2016 : La saison de chasse bat son plein en Auvergne comme ailleurs. Et malgré les règles de sécurité strictes appliquées autour des battues, le risque zéro d’accident n’existe pas. Une famille résidant dans le lotissement « les Tournesols » à Saint-Julien-de-Coppel a bien failli en faire les frais samedi après-midi. Une balle est venue transpercée la porte d’entrée de la maison et a fini sa course folle dans un placard. Très vite, il a été établi que le tir provenait d’une battue aux sangliers organisée à 600 mètres de là, dans un bois surplombant le lotissement. Le chasseur a commis une erreur de tir – François Delavet, président de la société de chasse de Saint-Julien-de-Coppel. Par miracle, aucun membre de la famille n’a été touché. …………..Joint par téléphone, le président de la société de chasse de Saint-Julien-de-Coppel, François Delavet, a confirmé que la sécurité autour de cette battue était optimale. Avant de reconnaitre qu’une erreur de tir avait été commise par un des chasseurs. Une première pour lui en plus de 30 ans de présidence. Et même si elle s’achève sans drame, elle pourrait l’inciter à jeter l’éponge face aux règles de plus en plus contraignantes imposées aux chasseurs.
Un accident de chasse mortel s’est produit ce matin sur la commune de Sartène vers 9h30. Un jeune homme d’une trentaine d’années est décédé. Le drame s’est produit au lieu dit Grossa, non loin de l’hôpital. Les pompiers du Rizzanese et les gendarmes de la brigade de Sartène se sont rendus sur place, mais la victime en arrêt cardio respiratoire est décédée quelques minutes plus tard. Une enquête est en cours pour connaitre les circonstances exactes du drame. Le jeune chasseur, qui participait à la partie de chasse, a été touché par plusieurs projectiles. Il était en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des secours et est décédée peu de temps après. Cet article en Corse.
09 Décembre 2016 : Cette nuit vers 1h30, 2 hommes qui passaient la nuit dans une hutte de chasse au bord de l’étang de Hombleux dans la Somme sont morts dans un incendie. Le fils de l’un d’eux est légèrement blessé.
01 Décembre 2016 : Un accident de chasse survenu jeudi à Renage (Isère) aurait pu coûter la vie à une fillette, signale Le Dauphiné libéré. Un père de famille a retrouvé une balle perdue, vraisemblablement tirée par un chasseur, au-dessus du lit de sa fille de 3 ans. L’homme se trouvait à son domicile, voisin d’une forêt, jeudi après-midi, tandis que sa fille faisait la sieste dans son lit. C’est à ce moment qu’il aurait entendu une détonation. « Ce n’est que samedi, en faisant le ménage dans sa chambre que j’ai remarqué un trou de la taille d’un pouce dans le mur, à 50 centimètres au-dessus de son lit et la poutre déchiquetée », raconte-t-il au quotidien régional.
03 & 04 Décembre : Un homme est décédé des suites d’un accident de chasse, ce week-end, en Corrèze. Les faits se sont déroulé ce dimanche après-midi sur la commune de Saint-Martin-la-Méanne, pas très loin d’Argentat. L’homme, âgé d’une trentaine d’années, est mort après l’accident dont les circonstances restent encore floues. C’est au cours d’une battue au sanglier que l’homme est touché au thorax. Il est entre 16h et 17h quand il reçoit la balle. Et à ce moment là, la victime n’a pas de fusil. Elle accompagne un proche, qui a lui le permis en bonne et due forme. Mais pourquoi le coup est-il parti ? Tout cela reste à établir parce qu’aucun témoin direct n’a assisté à la scène. Les deux hommes étaient seuls au moment de l’accident. Peut-être après une chute de celui qui avait l’arme en main, déclenchant un tir accidentel. Mais il n’y a rien de sûr, c’est ce que doit déterminer l’enquête ouverte dans la foulée.
Un avocat parisien âgé de 50 ans, originaire du Cambrésis, a trouvé la mort dans un accident de chasse à Authie, samedi vers 13h30. Nicolas Lesage, célibataire sans enfant, était l’organisateur de cette chasse au chevreuil et au sanglier à laquelle participaient une quinzaine de chasseurs. Il est décédé sur place après avoir reçu un projectile en pleine face lors d’une opération de traque, la troisième de la journée. Une autopsie est prévue ce lundi 05 décembre.
Un chasseur âgé de 55 ans a été légèrement blessé après avoir reçu des plombs dans le bassin, ce samedi vers 10 h 30. L’accident de chasse, dont les circonstances sont inconnues pour l’heure, marchait route de Kergoat, dans la commune de Quéménéven (Finistère).
26 & 27 Novembre 2016 : 2 morts en Normandie.
- « Un jeune de 16 ans est décédé ce samedi matin 26 novembre 2016, lors d’une partie de chasse dans la forêt qui surplombe le hameau de Bois-Meigle à Perriers-sur-Andelle. Selon les premières informations dont nous disposons l’adolescent aurait été victime d’un tir accidentel de carabine ”quasiment” à bout portant, en milieu de matinée ». ………Il aurait été touché au visage «lorsque le porteur du fusil qui se trouvait juste devant lui aurait refermé le canon de son arme», explique le maire de la commune au quotidien. L’adolescent serait originaire d’Elbeuf en Seine-Maritime.
- « Ce qui est validé pour le moment, c’est le fait que le coup est parti lors du réapprovisionnement du fusil », a souligné Éric Neveu, procureur adjoint d’Évreux. L’adolescent a été touché à la tête et tué sur le coup.
- Commentaire : Il y a eu manifestement au moins une grave erreur de manipulation contraire à toutes les règles de sécurité :
- L’arme doit toujours, vide ou chargée, être manipulée vers un endroit neutre, le sol en l’occurrence.
- Dans la plupart de ces accidents, il a fallut une action du doigt sur la queue de détente ! Et le moins que l’on puisse dire c’est que la formation actuelle au permis de chasse mise au point par des bureaucrates ignorants des règles du tir ne va rien faire pour arranger les choses. Voir mon article : « Doigt sur le pontet » : Une obligation judiciaire ! »
- Contrairement à ce que j’avais écrit précédemment, dans certains cas il peut y avoir un départ intempestif à la fermeture de l’arme, c’est ce que m’a précisé l’expert en balistique Joël SERRE : « En effet, je ne connais pas la nature du fusil ou de la carabine qui est en cause, par contre, ce que je sais par expérience, c’est qu’il peut se produire des départs inopinés lors de la fermeture d’une culasse sur une arme semi-automatique ou lors de la fermeture de la bascule d’une arme à canons superposés ou juxtaposés, ou encore d’une arme à verrou. Ceci lorsque l’arme présente un défaut de fonctionnement, ce qui est plus fréquent que l’on peu le penser ou lorsque l’arme fait l’objet d’un mauvais entretien ou entretien inadapté ».
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- « Un homme de 38 ans a également été tué, en milieu de matinée, ce samedi, lors d’une partie de chasse en famille dans la forêt domaniale de La Londe, à la frontière entre l’Eure et la Seine-Maritime. Selon la police, une balle tirée par un de ses cousins, âgé de 66 ans, aurait ricoché et atteint la victime à la tête. D’après les premières constatations, il s’agit d’un accident. L’auteur du tir, très choqué, a été hospitalisé ».
19 & 20 novembre 2016 : « La partie de chasse à courre s’est mal terminée pour un des chasseurs, samedi dernier à Jeu-les-Bois (Indre), rapporte La Nouvelle République. Un homme d’une cinquantaine d’années, qui devait achever à la dague un cerf, a été sérieusement blessé par l’animal. Ce dernier, dans un sursaut, s’est en effet rebiffé et a chargé le chasseur, lui donnant plusieurs coups de tête et le coinçant avec ses bois contre un arbre.
L’homme a été touché au niveau de l’artère fémorale et a subi une hémorragie interne. Il a été hospitalisé sur place, sur une exploitation fermière de Pazay-le-Sec (Vienne), avant d’être transporté par hélicoptère à l’hôpital de Châteauroux, d’où il devrait sortir ce mercredi ».
- Une balle ricoche et tue un chasseur. Dimanche après-midi, lors d’une partie de chasse, le fils du maire de Romescamps dans l’Oise a été tué. La partie de chasse a tourné au drame. En ce dimanche après-midi, aux alentours de 16 h 30, une vingtaine de chasseurs s’était donné rendez-vous dans un massif boisé au lieu-dit Varembeaumont, près de la commune de Quincampoix-Fleuzy, à la frontière entre l’Oise et la Seine-Maritime, à la recherche de gros gibier. La balle tirée par un des participants aurait ricoché en direction d’un autre chasseur touché alors en pleine tête.
- Commentaire : On ne le répétera jamais assez, la plupart des balles de fusil ricochent très facilement, les balles de carabine un peu moins moins ! Par contre elles peuvent générer des éclats mortels. Ce blog existe depuis 9 ans et cela fait 9 ans que je dis qu’il faut une certification NF pour les balles de fusil et que certaines balles de fusil ne devraient pas existées, tout simplement.
- Extrait de l’article : « Propositions insolentes pour réformer la chasse » : « Élimination des balles en calibre 12 inefficaces et qui peuvent présenter un danger. Test obligatoire de pénétration pour toutes les balles de calibre 12 à une distance de 30 mètres minimum, 40 mètres maximum sur une planche en sapin dont l’épaisseur doit simuler un sanglier de 50 kg. Canon de 61 cm. Norme NF ou ISO à définir, interdiction d’utiliser d’autres projectiles. Les projectiles déclassés finiront dans les stands de tir ».
- Un chasseur a été sérieusement blessé samedi 19 novembre, aux alentours de 12 h 15, à Courtomer. L’accident de chasse s’est produit au cours d’une battue sur la D211. L’auteur du tir aurait blessé un compagnon au niveau d’un flanc, en voulant viser un lièvre.
- Un accident de chasse s’est produit à Attancourt (canton de Wassy en Haute-Marne), le pronostic vital de la victime, touchée à la tête, est engagé. Elle a été héliportée au CHU de Reims.
- Commentaire : Actualisation de l’article lundi quand on en saura plus.
13 novembre 2016 : « Un chasseur a été évacué par hélicoptère, ce dimanche matin à Valdeblore, après avoir été grièvement blessé aux jambes par un sanglier. Agé de 48 ans, il a été blessé vers 9h du matin lors d’une partie de chasse dans le secteur de la Bolline, dans une zone difficilement accessible. Le groupe d’intervention en milieu périlleux du Sdis 06 l’a hélitreuillé à bord du Dragon 06, pour un transfert à l’hôpital Pasteur 2 à Nice. Ses jours n’étaient pas en danger ».
12-13 Novembre 2016 : 2 morts, un vrai accident de chasse et un accident à la chasse par une incompréhensible mauvaise manipulation de l’arme.
- Les circonstances du drame qui a coûté la vie à Cédric Tougne, 38 ans, lors d’une battue aux sangliers dans la forêt d’Illartein, samedi, se précisent. Le tir a eu lieu alors que la chasse était terminée et que les chasseurs récupéraient leurs chiens. Samedi, en début d’après-midi, la battue aux sangliers qui a rassemblé une vingtaine de chasseurs dans la forêt d’Illartein se termine. Les chasseurs s’emploient alors à «récupérer leurs chiens, poursuit Karline Bouisset, procureur de la République. Mais certains gardent leurs fusils chargés». L’un d’eux, soudain, perçoit la présence d’un sanglier dans la forêt. Il ouvre le feu dans l’épaisseur du bois, sans se rendre compte que «son collègue se trouve dans l’axe de tir», complète le magistrat. La balle est mortelle. Cédric Tougne, 38 ans, l’un des participants, s’effondre. Touché à la tête.
- Commentaire : Double faute : 1. Quand c’est fini, c’est fini. 2. Le tir n’était pas fichant, voir l’article : « Faut-il identifier avant de tirer ou identifier avant de prendre la visée ? Tir fichant ou zone fichante ? ». Souvenons-nous qu’il vaut mieux regretter de ne pas avoir tiré que regretter d’avoir tiré…!
- « Lors de cette battue, les choses avaient été bien faites (…) Toutes les consignes avaient été données. Ce n’est pas un problème de battue, c’est un problème de comportement », explique le président de la fédération de chasse : Jean-Luc Fernandez qui volontairement discret au lendemain du drame d’Illartein, sort de sa réserve pour rendre hommage à la victime de ce terrible accident de chasse, et faire taire les rumeurs.
- 15 novembre 2016. Du nouveau dans cette affaire : « Le tireur est poursuivi pour «homicide involontaire lors d’une action de chasse par violation manifestement délibérée d’une obligation faite par le règlement ou par la loi» et pour avoir chassé en utilisant des moyens «prohibés» que sont un véhicule, un GPS et une radio. Le procureur de la République de Foix, Karline Bouisset, qui a ouvert une information judiciaire, a rappelé, ce lundi après-midi, que le drame s’est noué «alors que la partie de chasse était terminée». «Les quatre chasseurs, dont un mineur, avaient posé les casquettes et les chasubles de sécurité avant d’aller rechercher leurs chiens dont les colliers étaient équipés d’un récepteur GPS. Mais dotés de radios, ils se sont rendus sur les lieux avec un véhicule et, surtout, en ayant leurs fusils chargés», a détaillé magistrate en précisant que pour ces infractions, la peine de détention encourue passe de trois à cinq ans.
Il semble ainsi être ressorti des auditions pendant la garde à vue, au cours de laquelle les faits ont été reconnus par le tireur présumé, que le quatuor de chasseurs savait que la chasse était terminée mais qu’il ne désespérait pas de pouvoir tirer un dernier sanglier ». - Commentaire : Concernant « l’utilisation de moyens prohibés tel que véhicule, GPS et radios », le journaliste écrit une énorme connerie ! Véhicule, radios et GPS sont autorisés à la chasse, sous certaines conditions. Par contre, tiré un sanglier après la fin de battue et qui plus est sans qu’il y est un ferme, ça c’est pas bon…!
« Un homme âgé de 68 ans est mort ce dimanche 13 novembre, vers 8h30, à Génébrières, près de Montauban, lors d’un accident survenu au cours d’une chasse au lièvre. Le chasseur a été victime d’un tir de fusil à la tête. L’homme se trouvait seul à son poste au moment du drame, assis sur le siège avant de sa voiture, en bordure de route. Soudainement, le coup est parti. Un mouvement intempestif a-t-il provoqué le tir du fusil tenu par le sexagénaire ? Toujours est-il que les secours n’ont pu le ranimer ».
- Commentaire : « Soudainement, le coup est parti ». Alors là par contre c’est beaucoup -TROP- facile de comprendre ce qu’il s’est passé. Il était assis sur le siège de sa voiture pour se protéger de la pluie et il a posé le fusil entre ses jambes crosse en bas, canons vers le haut au niveau de sa tête ou plutôt sous son menton…! Après c’est le coup classique, on s’ennuie, la main se promène et vient heurter la queue de détente…! Ou bien le chien arrive et comme cela s’est déjà produit il donne un coup de patte et actionne la queue de détente. On ne le répétera jamais assez, les canons doivent toujours être dirigé vers le bas, il faut décharger et/ou diriger l’arme vers un angle mort quand on croise quelqu’un ou un véhicule.
A 40 km de là et sous la même pluie, j’étais assis au milieu d’un chemin de terre, quand le 4×4 des piqueurs est passé devant moi, j’ai OSTENSIBLEMENT dirigé le canon de mon arme vers le champ et j’ai présenté ma crosse au 4×4. C’est aussi une question de politesse par rapport au conducteur que de ne pas lui présenter les canons…!
06 Novembre 2016 : Les faits ont eu lieu ce dimanche après-midi vers 15 heures sur la commune de Campsegret, près de Bergerac, en Dordogne.
Un chasseur de 26 ans a perdu la vie ce dimanche après-midi vers 15 heures. C’est au cours d’une battue aux sangliers que le jeune homme a reçu une balle en plein thorax. Il était déjà décédé à l’arrivée des secours.
L’auteur du coup de fusil, plus âgé, a tout de suite reconnu sa responsabilité. Il visait apparemment un animal lorsque la balle est partie, touchant finalement son collègue chasseur. Dépistage à l’alcool négatif. Le tireur, très choqué, a été entendu et a reconnu sa responsabilité, a-t-on précisé de source proche de l’enquête. Selon les premières explications du présumé tireur, qui avait dans son viseur un sanglier « à une trentaine de mètres », la blessure mortelle ne pourrait être due qu’à un « ricochet » de la balle, a indiqué Charles Charollois, vice-procureur du parquet de Bergerac.
Selon Michel Amblard, président de la Fédération des chasseurs de Dordogne, il s’agit d’un accident « très rare » qui « n’était pas arrivé depuis au moins dix ans en Périgord ».
Commentaire : Il serait intéressant pour tous les acteurs de la chasse de savoir s’ils agissait d’un fusil ou d’une carabine et surtout quelle balle. Une balle de carabine se désintégre plus ou moins à l’impact, (je parle de balle de battue, pas de FMJ). Il en va différemment avec les balles de fusil, à l’exception notable de la FIER.
30 Octobre 2016 : Un homme d’une cinquantaine d’années est décédé ce dimanche lors d’une partie de chasse dans la forêt de Caudebec-lès-Elbeuf en Seine-Maritime. Selon les premiers éléments, une balle de gros calibre a ricoché sur un arbre avant de le toucher. L’homme n’a pas survécu en dépit des tentatives de réanimation opérées par les secours. Une enquête a été ouverte, les 32 chasseurs qui étaient présents lors de l’accident ont été entendus. Les contrôles d’alcoolémie se seraient tous révélés négatifs. 19 fusils ont été saisis. Un chasseur d’une cinquantaine d’années a été placé en garde à vue.
30 Octobre 2016 : « Un chasseur de 53 ans a été accidentellement blessé par balle au visage, ce dimanche en milieu d’après-midi, à Saint-Etienne-sur-Blesle lors d’une chasse privée. Il était aux environs de 16 heures, lorsque l’accident s’est produit au cours d’une battue aux cervidés effectuée sur le lieu-dit « Brugely », à Saint-Etienne-sur-Blesle. L’un des chasseurs présents a tiré sur un cerf et la balle, par ricochet, a accidentellement atteint un camarade chasseur placé non loin de là et qui avait bougé de son poste initial ».
27 Octobre 2016 : Mise à jour concernant le cheval tué : Le chasseur s’explique par écrit en l’affichant dans la mairie et le café de sa commune. Même s’il a de lui même prévenu les gendarmes, les propos tenus sont incompréhensibles et je dirai même enfonce un peu plus son auteur au regard d’un minimum de vigilance avant de tirer : « Sur les faits plus précisément et sa décision de tirer : « J’étais à environ 70-100m. Dans la lunette de mon fusil, j’ai identifié ce que j’ai cru être un cervidé. Le corps et la couleur correspondaient (il précise aussi, après question, qu’il n’a pas vu la tête de l’animal qui était de couleur grise, ndlr). J’ai une très bonne vue, c’était dégagé, alors j’ai tiré ».
« Le septuagénaire le dit d’emblée : « C’était un malheureux coup de fusil. Comme si vous étiez sur l’autoroute et que vous percutiez un piéton à 120km/h ». Le chasseur assure que depuis les faits, il ne dort plus et qu’il est bouleversé. « Je ne suis pas glorieux et j’ai pris mes responsabilités« . Ce n’est tout simplement pas possible de comparer un piéton qui traverse l’autoroute et balancer une balle « entre 70 et 100 mètres » (quasiment le double) sur une biche qui est en fait un cheval ! Il m’est moi même arriver de baisser mon arme à la vue de ce qui s’est avéré être une biche mais qui ressemblait aussi furieusement à une veste de chasse camouflée. J’ai préféré ne pas tirer que regretter d’avoir tiré ! Chasseur en moyenne montagne, combien de fois m’est il arrivé d’entendre un cerf qui dévalait un sous-bois et qui s’est avéré être un VTT.
23 Octobre 2016 : : « Un jeune homme a été transporté au CHU Pellegrin à Bordeaux après un accident de chasse. Il a été touché par l’arme de son père.
Un chasseur de 19 ans a été blessé ce dimanche à Biganos, près du Bassin d’Arcachon. Le jeune homme a été atteint… par les plombs du fusil de son père. Celui-ci a glissé sur une pente herbeuse. Son arme était chargée et le coup est parti ». Commentaires : Le fait que l’arme était chargée et qu’elle est glissée ne sont pas des arguments admissibles ou recevables. L’arme doit TOUJOURS être porté comme si on allait forcément tomber et on finit toujours par tomber un jour ! Ce n’est pas le chasseur de moyenne montagne que je suis qui vous dira le contraire ! Je me suis déjà étalé avec des fils de fer barbelé vieux de 50 ans à dix centimètres du sol. Je suis toujours en sécurité, même quand je suis au poste, je ne lève la sécurité que lorsque je perçoit l’arrivée de l’animal ou je la présent ou quand les chiens « niaquent« .
22 Octobre 2016 : L’accident de chasse à la Motte-en-Bauges ce samedi, lors duquel un cheval a été tué après avoir été pris pour une biche, a suscité un très vif émoi. Sur le compte Facebook du Dauphiné Libéré, les commentaires se sont comptés par dizaines. Le président de la fédération de chasse de Savoie, Régis Clappier, prend très au sérieux les faits : « J’attends la conclusion de l’enquête de gendarmerie mais s’il y a bien eu faute, il y aura une forte condamnation de notre part ».
22 Octobre 2016 : « Accident de chasse à Nouan-le-Fuzelier : Ce samedi, un chasseur a été blessé par un autre chasseur à Nouan-le-Fuzelier dans le Loir-et-Cher. La victime a été transportée au CHU d’Orléans, mais ses jours ne sont pas en danger. L’homme a reçu une balle dans l’épaule.
L’accident est survenu après qu’un chasseur ait tiré une première fois sur un chevreuil. Le chevreuil, bloqué par une clôture fait alors demi-tour. Le tireur le suit en changeant son angle et réalise ce qu’on appelle un « report de tir ». En visant l’animal, le tireur blesse involontairement un autre chasseur ». RÉDACTION FRANCE 3.
Toutes nos félicitations au « journaliste » de FRANCE 3 POUR SA MAUVAISE FOI, qui écrit : « Selon l’ONCFS, le nombre total d’accidents de chasse relevés durant la saison 2015-2016 s’élève à 146 en France. Il est en progression par rapport à la saison précédente (122 accidents) ». Alors même que le communiqué officiel de l’ONCFS écrit en TITRE : « Accidents de chasse 2015-2016 : le nombre d’accidents mortels au plus bas » : « Le nombre d’accidents mortels reste toutefois en baisse continue depuis près de 20 ans et atteint le niveau le plus bas jamais enregistré ». « 4 accidents mortels de moins par rapport à la saison précédente. Tendance moyenne sur 18 saisons : Baisse de 7% d’une saison sur l’autre ».
16 Octobre 2016 : « Un chasseur se blesse tout seul ». Une intervention de secours est en cours aux Mées, dans les Alpes-de-Haute-Provence, où un homme de 28 ans a été victime d’un accident de chasse, ce dimanche matin. Selon les premiers éléments, il se serait blessé tout seul avec son arme à feu. Le chasseur souffre d’une plaie au mollet.
01 Octobre 2016 : Accident « À » la chasse et non pas accident « DE » chasse : Commençons d’abord par le titre ronflant et DRAMATIQUE de l’article de cette prétendue journaliste : « Une partie de chasse qui tourne au drame ». « C’est dans sa cache du 7e rang de Saint-Claude que Gilles Therrien a été découvert inanimé par un ami samedi dernier. Il est donc allé le rejoindre dans sa cache et l’a trouvé en bien mauvaise posture. La blessure provient d’une arbalète et semble accidentelle. Il peut s’agir d’une mauvaise manipulation ou d’une défectuosité de l’arme ». Elle est où « la partie de chasse » ? Il est où le « drame dû à la partie de chasse » ? L’article complet sur « L’EXPRESS DES SOURCES.COM » (Lien supprimé).
22 septembre 2016 : En réponse aux accidents, les chasseurs prônent la formation. La fédération répond formation. « Plus nous formons les chasseurs aux questions de sécurité, moins il y a d’accidents de chasse, estime Jean Camus, secrétaire de la fédération départementale des chasseurs de Loire-Atlantique et membre de la société de chasse de Cheix-en-Retz. En 2014, il y a eu quatorze morts en France. Aujourd’hui, on en compte neuf ». Selon la fédération, 83 % des victimes sont des chasseurs. En Loire-Atlantique, plusieurs journées de formation à la sécurité, à l’attention de tous les détenteurs d’un permis de chasse, sont proposées. « Cela coûte 60 € la journée, repas compris, je conseille vivement aux chasseurs d’y participer. Même s’ils n’ont jamais eu d’accidents et ne se sentent pas concernés », poursuit Jean Camus. Sont abordées lors de ces formations, les questions des zones de tir et les distances réglementaires mais aussi celle de la consommation d’alcool lors d’une partie de chasse.
18 septembre 2016 :Un homme de 40 ans a été atteint, vers 10h30 ce dimanche 18 septembre, par une gerbe de plombs, à Chaudefonds-sur-Layon. L’enquête de gendarmerie privilégie l’hypothèse d’un accident de chasse. Un homme de 40 ans a été pris en charge par les pompiers, un peu avant 11h ce dimanche 18 septembre » ». OUEST FRANCE.
- « Nouvel accident recensé en cette journée d’ouverture de la chasse en Anjou : un homme de 44 ans a été touché au visage et à l’épaule droite par des munitions (NDR : plombs) ce dimanche 18 septembre, au lieu-dit Le-Bois-des-Marais, à Louresse-Rochemenier. » OUEST FRANCE.
17 septembre 2016 : « La chasse au sanglier a été écourtée au lieu-dit « La garnerais », à Saint-Michel-Chef-Chef. Des chasseurs pistaient un sanglier quand l’un d’entre eux a épaulé et tiré sur l’animal. A deux reprises. Une cartouche (NDR : Une balle) a touché la bête. L’autre a fini sa course dans le haut de la cuisse d’une femme qui jardinait sur une parcelle avoisinant. Cette dernière, âgée d’une soixantaine d’années, a été blessée et hospitalisée. En état de choc après cet accident, le jeune chasseur, qui a une vingtaine d’années, a également été transporté à l’hôpital ». La suite sur PRESSE OCÉAN.FR
11 Septembre 2016 : Accident « À » la chasse et non pas accident « DE » chasse : « Il part à la chasse et se retrouve blessé par un sanglier. Blessé par la charge d’un sanglier d’une centaine de kilos à l’occasion d’une battue dimanche à Grimaud dans le Var, Marc Menon explique son aventure et sa détermination à y retourner : « Alors que les traqueurs s’affairaient à contraindre le sanglier de sortir, sans chien, vu qu’il en avait déjà blessé quatre, il a démarré. Et il m’est venu droit dessus! »
11 Septembre 2016 : Accident « À » la chasse et non pas accident « DE » chasse : « Un accident de chasse a été déploré à Aureilhan dimanche, vers 9 heures, soit quelques minutes à peine après l’ouverture de cette nouvelle saison. Les circonstances de l’incident sont très claires, puisque c’est la victime elle-même qui s’est accidentellement tiré une balle dans le pied, la cheville plus précisément. Selon les éléments recueillis par les gendarmes du Born, ce trentenaire landais marchait seul dans la forêt aureilhanaise lorsqu’il a été déséquilibré. Le coup de fusil involontaire a été provoqué par la chute de son arme ».
Toujours pareil ! Le doigt qui va chercher la détente ! Je l’ai dit et répété depuis des années sur ce blog, la formation au permis de chasse a été écrite par des fonctionnaires qui ne connaissent pas le début du commencement des règles de tir et de maniement d’une arme, en vigueur partout dans le monde. Je suis un chasseur de moyenne montagne j’ai pris des « gamelles » terribles avec l’arme dans les mains ! Je me suis notamment étalé de tout mon long avec un barbelé à 5 cm du sol. Je n’ai jamais déclenché mon arme ! Pourquoi ? Parce que dans ma formation de tireur j’ai intégré, MODÉLISÉ mentalement les conséquences de la chute. L’arme est tenue en fonction d’une chute toujours possible et qui invariablement un jour viendra et reviendra encore ! Voilà ce qui entre-autres devrait être appris à l’examen du permis de chasser.
11 Septembre 2016 : « Isère: Deux (participants) ados légèrement blessés lors d’un accident de chasse. Les garçons assistaient à la chasse en observateurs ». « Alors qu’ils participaient, en tant qu’observateurs, à la traque organisée à Beauvoir-en-Royans, en Isère, deux adolescents de 14 ans ont été blessés par des éclats de tirs, qui auraient ricoché sur le sol avant de les atteindre ».
Accident « À » la chasse et non pas accident « DE » chasse : On inaugure la saison par un accident A la chasse et même un auto-accident…! : 10 Septembre 2016 : « Accident de chasse à Saint-Michel de Llotes: il se tire deux balles en tombant » . « Un homme de 65 ans a été victime ce samedi matin d’un accident de chasse peu anodin. En se déplaçant avec son arme chargée en direction de la route de Cases-de-Fabre, en dépit de toutes les règles de sécurité, le chasseur a semble-t-il trébuché et enclenché la détente du fusil.
Deux balles l’ont alors atteint et sont sorties au niveau du bras et de l’épaule sans toucher les organes vitaux ni les os. “Chanceux” sur le coup, l’homme n’a pas souffert d’une grave hémorragie et ses jours ne sont pas en danger« .
Il va falloir quand même m’expliquer COMMENT (!!!) on peut arriver à se tirer deux balles dans le bras et dans l’épaule en tombant…! Non mais c’est inouï un truc pareil ! …………Depuis 48 heures et en consultant par hasard des photos de chasseurs j’ai fini par comprendre ! Il devait tenir son arme par le bout des canons (CQFD fusil) sur l’épaule ! Quand il a trébuché, le corps est parti brutalement en avant et l’arme a fait un salto aussi vers l’avant pour aller taper violemment sur la plaque de couche, les canons étant dirigé vers le haut du corps du chasseur.C’est d’autant plus impardonnable qu’il est très facile de « casser » un fusil. Il n’y a que les mauvaises habitudes que l’on ne casse pas ! D’où l’importance d’une formation au permis de chasser validée par des tireurs confirmés, des praticiens pas des bureaucrates….
Bonjour chasseur de sanglier nous avons tous deux la m^me passion , pour essayer d’apprivoiser une arme il faut s’en servir plus que régulièrement donc pour améliorer le moment avant le tir il faut être rapide quand on épaule ce qui laisse souvent quelques millièmes d’une seconde donc du temps pour voir les obstacles et la trajectoire de sa balle, ceux qui ne font pas cela perdront à tous les coups…
– Faire et obliger de pratiquer c’est cela la clef pour diminuer ces problèmes…
– J’entends certains grincer des dents, alors ils sont concernés….
Bonjour,
vous allez avoir du grain à moudre: 2 accidents ce WE dont un ce matin 13/11 dans le 82. Un chasseur de lièvre « seul à son poste…assis dans sa voiture, en bordure de route… Soudainement le coup est parti ».
Cf le site la dépêche du midi à 13h00.
Je sais pas vous, mais moi je sais: le coupable c’est le coup. Ben oui il est parti tout seul!
On croit rêver « le poste dans la voiture » mais c’est plutôt un cauchemar.
Merci pour tout vos articles
Ouais.. Merci !! je n’étais pas encore au courant.
bonjour je suis la victime de l’accident de chasse survenu a Nouan le fuzelier.(le jeune homme qui a reçu la balle dans l’épaule)je voulais juste vous signaler que vous avez noter que l accident est survenu le 16.10.2016 hors c est arriver le 22.10.2016.
mr ferreira tony
cordialement
J’ai procédé aux corrections. Comment allez-vous ? Avez vous des précisions, un commentaire à faire ?
La blessure provient d’une arbalète et semble accidentelle. Il peut s’agir d’une mauvaise manipulation ou d’une défectuosité de l’arme ». Elle est où « la partie de chasse » ? Il est où le « drame dû à la partie de chasse » ?
de plus la chasse a l’arbalète et interdite donc pas chasse mais braconnage