Coup de gueule !

Février 2018 : Reportage sur la Légion Étrangère en Guyane : Voici ce qui arrive à un Légionnaire qui se balade en pointant son fusil vers le ciel :

 Janvier 2018 : Voici douze mois après avoir rédigé cet article ce que cela donne concrètement au niveau de la réalité et sur le terrain : « Un accident de chasse a eu lieu ce dimanche matin en Dordogne, sur la commune de Bourrou, au lieu-dit Nantillac. Vers 10 heures, un homme de 38 ans se déplaçait fusil sur l’épaule lorsqu’il a chuté. Le trentenaire s’est pris dans les broussailles. C’est au moment où il tentait de se dégager que le coup est parti. Le malheureux a été touché au mollet. C’est par hélicoptère qu’il a été évacué et transporté au centre hospitalier de Périgueux ».

Cette année je suis dans une nouvelle société de chasse qui ne chasse qu’en plaine, avec des champs plats à perte de vue. Déjà, j’avais dès le début remarqué des aberrations, mais bon je ne suis pas là pour donner des leçons, donc je me suis toujours abstenu de tout commentaire eu égard à l’autorité du Président. Mais là je viens de subir une humiliation comme je n’en ai jamais eu en 17 ans,  JAMAIS !

Cette fois-ci je vais vider mon sac par rapport à une PUTAIN D’INCULTURE DU MANIEMENT DES ARMES qui commence  À ME  FAIRE bouillir CHIER…. !

Actualisation : Compte tenu des premiers commentaires reçus j’apporte plus de précision : Le reproche m’a été fait alors que j’étais posté en battue, donc immobile à mon poste, arme chargée à 45° vers le sol, ventre au bois, attendant que l’animal sorte. Je ne me promenais pas la fleur au fusil…! Fin de la parenthèse. Non content de ne rien comprendre au maniement d’une arme, on vous explique que c’est moi qui suis en faute en tenant mon arme à 45° vers le sol AU LIEU DE LA TENIR CANONS EN L’AIR OU CANON APPUYÉS SUR L’ÉPAULE !!!! ET ON EXIGE DE MOI QUE JE LA TIENNE COMME ÇA SOUS PEINE D’EXCLUSION… !!!

C’est dire s’il y a encore un PUTAIN de travail à faire par les fédérations ! Encore faut-il que cette formation soit faite par des gens compétents…! Je suis disponible ! Tout est à refaire, tout est à reprendre à zéro, TOUT ! Le maniement des armes, les munitions recommandées, celles qu’il faut « interdire », les idées reçues, TOUT de A à Z !

Mise à jour du 16 Janvier 2017 : En relisant les accidents de chasse 2016-2017, je tombe sur le premier accident de chasse de la saison….! Voici ce que j’ai écrit en septembre 2017 sur un chasseur qui a réussi l’exploit D’ARRIVER À SE TIRER DEUX BALLES DANS L’ÉPAULE ET LE BRAS ! : 10 Septembre 2016 : « Accident de chasse à Saint-Michel de Llotes: il se tire deux balles en tombant » . « Un homme de 65 ans a été victime ce samedi matin d’un accident de chasse peu anodin. En se déplaçant avec son arme chargée en direction de la route de Cases-de-Fabre, en dépit de toutes les règles de sécurité, le chasseur a semble-t-il trébuché et enclenché la détente du fusil.
Deux balles l’ont alors atteint et sont sorties au niveau du bras et de l’épaule sans toucher les organes vitaux ni les os. “Chanceux” sur le coup, l’homme n’a pas souffert d’une grave hémorragie et ses jours ne sont pas en danger« .
Il va falloir quand même m’expliquer COMMENT (!!!) on peut arriver à se tirer deux balles dans le bras et dans l’épaule en tombant…! Non mais c’est inouï un truc pareil ! …………Depuis 48 heures et en consultant par hasard des photos de chasseurs j’ai fini par comprendre ! Il devait tenir son arme par le bout des canons (CQFD : fusil) sur l’épaule ! Quand il a trébuché, le corps est parti brutalement en avant et l’arme a fait un salto aussi vers l’avant pour aller taper violemment sur la plaque de couche, les canons étant dirigés vers le haut du corps du chasseur.

Je suis allé consulté le « CCSMAF » « Cours Canadien de sécurité dans le maniement des armes à feu ».

Deux extraits en photos :

Je prépare un article conséquent sur la formation des chasseurs Canadiens aux armes à feu : CCSMAF : « COURS CANADIEN DE SÉCURITÉ DANS LE MANIEMENT DES ARMES A FEU ». « Durée du cours : 8 à 10 heures (y compris les 2 tests). Coût : 75 $ comprenant un manuel (268 pages), un test pratique et l’examen théorique (coût 2017 : 76 $). Ce cours permet d’acquérir les connaissances nécessaires au maniement sécuritaire des armes à feu. Il s’adresse à toute personne de 12 ans et plus (à la date du cours). La réussite du cours complet (présence en salle ET les 2 examens) combiné au cours ICAF (Initiation à la chasse avec arme à feu) est nécessaire pour obtenir un Certificat du chasseur (catégorie arme à feu). Le Certificat du chasseur ou le Certificat de réussite obtenu à la suite de ce cours est nécessaire pour compléter une demande de permis de possession et acquisition d’arme à feu sans restriction (PPA) (essentiellement des armes longues pour la chasse). Prenez note qu’une pièce d’identité avec photo sera exigée lors du cours. Il est obligatoire de suivre la formation CCSMAF pour obtenir un permis de possession et acquisition d’arme à feu (PPA). Depuis le 18 juin 2015, le chalenge (NDR : en candidat libre) de l’examen n’est plus accepté ».

Ma première impression à la lecture des cours (le responsable de la chasse au Québec a bien voulu m’envoyer l’ensemble des cours y compris tous les power-point) c’est que le citoyen est considéré comme un adulte RESPONSABLE, ce qui nous change bien de la mentalité Française ! Vous voulez un exemple ? La bretelle ! Suite à des accidents divers et variés, tenant essentiellement au fait que lorsque l’arme est portée à la bretelle (chargée), la plupart des fusils notamment ne possédant pas de cran de sureté, lorsque l’arme glisse, le chasseur mais néanmoins tireur-néophyte (inculture des armes) la rattrape par n’importe où et souvent par les détentes.

Qu’à cela ne tienne décide le bureaucrate, « Supprimons la bretelle on supprimera les accidents ! ».

Législation névrotique et incompétence : Vers une interdiction de la bretelle ?

Voici un commentaire reçu que je me ferai un plaisir de faire découvrir à mes amis Québécois quand je rédigerai mon article : « Bonsoir, J’ai passé mon permis de chasser fin juillet. Les formateurs de la FDC ainsi que les examinateurs de l’ONCFS demandent à ce que l’arme, en action de chasse, soit portée plaquée contre soi, canon en l’air ». Je prendrai quand même soin de préciser que je dégage par avance toute responsabilité en cas d’infarctus chez nos amis Québécois à la lecture de ce qui précède…!

Les Canadiens ont un comportement plus adulte, ils éduquent, ils expliquent ce qu’il faut faire et ne pas faire. Dans quelle circonstance la bretelle peut-elle être « dangereuse« , dans quel autre elle est nécessaire. Au final, le chasseur canadien conserve sa bretelle mais sait comment l’utiliser.

Voici trois copies d’écran du « COURS CANADIEN DE SÉCURITÉ DANS LE MANIEMENT DES ARMES A FEU ».:

Photo de l’auteur du site pour illustrer le tir avec bretelle tel que décrit dans le CCSMAF Canadien :

Ah les idées reçues du style « c’est le déplacement de l’air qui tue… ». Y en a marre d’entendre toutes ces conneries ! « Humour » chasse : « Comment tuer une caille sans la toucher… ! ».

« Humour » chasse : « Comment tuer une caille sans la toucher… ! »

Chaque responsable impose invente ses propres règles en matière de « sécurité » ! Il faut dire que comme il dit : « Celui qui ira au tribunal c’est le Président, même s’il n’a rien fait personnellement ».

Attendez….! C’est sans compter sur la mauvaise foi de certains riverains, agriculteurs, etc, qui viennent voir le Président et qui lui disent : « Hier vous avez chassé  et une balle est tombée sur le toit ». Et le Président –naïf- vient vous voir et vous dit devant tout le monde (c’est un vécu personnel) : « Hier le sanglier que tu as tiré, la balle a atterri sur un toit 1 km plus loin ! Pour cette fois-ci le propriétaire ne dira rien aux gendarmes… !». Vu que l’on dit vous dit ça devant tout le monde vous n’osez pas mettre le Président plus bas que terre en lui répondant : « Le sanglier je l’ai tiré à 80 mètres debout sur mes deux jambes, donc en tir fichant et vous étiez à côté de moi ! Expliquez-moi comment ma balle a pu se retrouver un kilomètre plus loin sur le toit d’une ferme… ? La prochaine fois que l’on vous dira ce genre de CONNERIES, Monsieur le Président, je vous conseille de répondre ceci à l’accusateur : « J’appelle la gendarmerie de suite qu’elle vienne constater s’il y a bien une balle sur le toit et s’il n’y a pas une balle sur le toit c’est moi qui porte plainte contre toi pour diffamation et accusation mensongère ». On va voir la gueule que va faire l’accusation. Faites mine de prendre le téléphone, vous allez voir ce  qu’il va vous dire : « Non, non c’est bon, c’est bon, ça ira comme ça ! ».

Voilà aussi à quoi sont confrontés les Présidents d’ACCA, le problème c’est que certains sont plus naïfs que d’autres et démarrent au quart de tour ! Mais comme vous voulez conserver votre place, vous fermez votre gueule ! Voilà c’était mon coup de gueule rédigé à chaud et ça m’a fait du bien !

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9 thoughts on “Coup de gueule !”

  1. Blog chasseur de sanglier.com
    Ayant pratiquer quelques tirs différents, j’ai fini par laisser tomber et je m’en suis allez chasser avec des compagnons en montagne ou je suis plus que mieux, ambiance, lieux adorables, marche, vues, logement, humour de bon aloi, courtoisie améliorée, tirages au sort, corrélation enfin, parés plus de quatre décennies de chasse et de recherche. Je ne suis pas étonné de voir encore quelques c..s dans les compagnies.
    Rejoignez moi et je vous mène à cet endroit…

  2. Bonjour Chasseurdesanglier.com
    Certes, je n’ai pas tous les éléments concernant votre situation dans cette nouvelle chasse ni en général, qui plus est. Ceci dit, me concernant, devant une telle accusation de la part d’un président, nouvel actionnaire ou pas, me sachant sûr comme vous l’êtes, le coup de gueule, je l’aurai eu sur le champ. Ces soucis de President et donc de structures irresponsables viennent souvent du fait que personne ne contre, ne résiste, ne tient la dragée haute. Lorsque l’aspect sécurité est trouble dans un groupe, dans un premier temps, mettre le problème bien à plat sur la table, si cela semble sans issue, partir.
    Je répète: je parle bien de mon point de vue, c’est peut être plus facile, je sais. Courage!
    Bonne fin d’année néanmoins et joyeuses fêtes!
    BB

  3. Bonjour ,
    Je comprends que vous soyez écœuré de certains chasseurs « vieillissants  » et peu enclin à entendre des remarques sur la sécurité, surtout s’il n’ont jamais eu de (in)formation sur les risques encourus à la chasse.Mais il faut rester tolérant d’une part comme de l’autre, car c’est en dialoguant et en informant, que les mentalités changeront ! J’ai connu les mêmes problèmes que vous, je m’aperçois qu’au fil des années, certains chasseurs évoluent et d’autres non.Pour ceux récalcitrants, je leur fais toujours remarquer qu’il doivent respecter nos règles de sécurité telles quelles soient (avec humour quelque fois cela passe mieux !). Nous citons ces consignes de sécurités avant chasse en battues ou au petit gibier.
    Il faut absolument que les fédérations réagissent, en faisant des « recyclages&formation sécurité au port d’arme » pour tous les chasseurs (1 fois tous les 2 ou 3 ans serait déjà pas mal!) Idem pour le tir, chaque chasseur devrait avoir une licence et pratiquer le tir sur cible fixe ou mouvante plusieurs fois dans l’année, à mon humble avis.Je vois encore beaucoup de chasseurs qui officient dans nos bois avec des armes déréglées qu’ils maîtrisent peu ou mal !
    Pour ma part en ce qui concerne le transport d’armes chargées à la chasse, je ne suis pas pour le fusil à 45° vers le sol (because les chiens qui passent dans cette zone !). Je préfère marcher fusil « cassé », et le refermé lorsque le gibier démarre ou s’envole (+ sportif car le gibier à plus de chance de survivre !). Sinon, lorsque je traque, je ne met pas de balle dans la chambre de l’arme (uniquement dans le chargeur), que j’arme en cas de ferme au sanglier ou lorsque je vois un chevreuil s’enfuir.Il n’y a qu’un seul cas ou je traque avec une balle chambrée dans ma carabine, c’est lorsque je prends ma Blaser car elle a un armeur séparé qui « limite » le risque d’accident (l’arme peut tomber, jamais le coup ne partira, avec l’armeur inactif biensûr!). Dans ces 2 cas de figures je peux traquer l’arme à l’épaule sans risque ! Je contrôle avant chaque partie de chasse l’état de mes sangles de fusils ou carabines, ainsi que leurs fixations (j’en vois peu le faire!).
    Mais bon… Ayons confiance dans l’avenir et aux nouvelles générations de chasseurs par lesquels ces changements de mentalité s’opéreront.

    1. Actualisation : Compte tenu des premiers commentaires reçus j’apporte plus de précision : Le reproche m’a été fait alors que j’étais posté en battue, donc immobile à mon poste, arme chargée, ventre au bois, attendant que l’animal sorte. Je ne me promenais pas la fleur au fusil…! Fin de la parenthèse.

      « Il faut absolument que les fédérations réagissent, en faisant des « recyclages&formation sécurité au port d’arme » pour tous les chasseurs (1 fois tous les 2 ou 3 ans serait déjà pas mal!) »
      Mais encore faut il que la dite formation soit faite par des gens compétents au maniement d’une arme. Or seul un tireur confirmé ou un ancien militaire peut faire cela. L’idéal étant un chasseur d’expérience, tireur ET chasseur.
      Le problème des formations actuelles et on le voit dans les autres commentaires c’est qu’elle se veulent spécifiques à la chasse ! C’est faux ! Le maniement d’une arme qu’elle soit dans les mains d’un militaire ou d’un chasseur réponds aux mêmes impératifs de sécurité.

  4. effectivement en temps que nouveaux actionnaire ne rien voir est une obligation
    mais en arriver a risquer la vie de quelqu’un ?? a ce point la il n’y a que l’ONCFS qui peut intervenir efficacement.

  5. Bonsoir,
    J’ai passé mon permis de chasser fin juillet. Les formateurs de la FDC ainsi que les examinateurs de l’ONCFS demandent à ce que l’arme, en action de chasse, soit portée plaquée contre soi, canon en l’air. Ils déconseillent fortement le port de la bretelle. Ceci est repris dans le manuel de préparation officielle au permis de chasser ainsi que dans les diverses vidéos réalisées par l’ONCFS.
    Cordialement,

    1. « Bonsoir,
      J’ai passé mon permis de chasser fin juillet. Les formateurs de la FDC ainsi que les examinateurs de l’ONCFS demandent à ce que l’arme, en action de chasse, soit portée plaquée contre soi, canon en l’air ».
      Magnifique ! Vous avez déjà vu le porteur d’une arme tenir son arme en l’air ? Et puis comme ça quand on trébuche, l’arme fait un plongeon canon vers l’avant et viens se fracasser devant vous avec toutes les chances que le coup parte !
      Quand on tombe en arrière, idem le canon part vers l’arrière et si le coup part il arrose derrière !Excellente idée !
      Et puis c’est bien ! Au lieu de considérer le sol comme la seule direction possible vers laquelle le canon doit regarder, le chasseur s’habitue à manipuler l’arme en l’air et on voit des accidents comme celui du jeune de 16 ans qui a pris une balle en pleine tête à bout portant par défaut de manipulation et/ou problèmes techniques dû à l’arme. Dans les deux cas il aurait mieux valu que l’arme soit dirigé vers le sol.

      26 & 27 Novembre 2016 : « Un jeune de 16 ans est décédé ce samedi matin 26 novembre 2016, lors d’une partie de chasse dans la forêt qui surplombe le hameau de Bois-Meigle à Perriers-sur-Andelle. Selon les premières informations dont nous disposons l’adolescent aurait été victime d’un tir accidentel de carabine ”quasiment” à bout portant, en milieu de matinée ». ………Il aurait été touché au visage «lorsque le porteur du fusil qui se trouvait juste devant lui aurait refermé le canon de son arme», explique le maire de la commune au quotidien. L’adolescent serait originaire d’Elbeuf en Seine-Maritime.
      « Ce qui est validé pour le moment, c’est le fait que le coup est parti lors du réapprovisionnement du fusil », a souligné Éric Neveu, procureur adjoint d’Évreux. L’adolescent a été touché à la tête et tué sur le coup.

      JE DIS ÇA…… Après tout qui suis-je pour donner des leçons de maniement d’une arme, je ne suis tireur sportif que depuis 38 ans….(carabine et arme de poing : Précision et TSV).

  6. Bonjour,

    L’arme en l’air se sont des contraintes de stand de tir: un tir au sol peut ricocher et blesser, pas un tir en l’air.
    Sur ma chasse qui n’est pas une acca, nous nous déplaçons avec les armes déchargées (personne ne vient cependant vérifier) sous housse, ou démontées pour ceux qui n’ont pas d’étui ou de housse.
    Le plus léger au besoin étant la chaussette, transformable éventuellement en écharpe.
    Pour ce qui est des présidents d’association de chasse, ils ne vont pas systématiquement devant le tribunal:
    Ils doivent démontrer qu’ils ont mis en œuvre, TOUTES les mesures de sécurité. C’est un renversement de la charge de la preuve destiné à faciliter l’indemnisation d’éventuelles victime par l’assurance organisateur de chasses.
    Le tireur est avant tout responsable de son tir: quelles que soit les consignes du président, la responsabilité du président peut également être engagée en cas d’absence de consignes ou d’insuffisances, voir de faute avérée.
    Les chefs de ligne ont aussi leur part de responsabilité, sur leur ligne, ils sont pénalement responsables.
    Une bonne solution ne serait-elle pas de mettre un STOP TIR vendu par les fédérations: petit drapeau rouge sortant de la culasse avec une tige dans le canon, le tout en plastique, empêchant l’introduction d’une cartouche et rassurant visuellement?

    Cordialement

    1. « L’arme en l’air se sont des contraintes de stand de tir: un tir au sol peut ricocher et blesser, pas un tir en l’air. »
      En 38 ans de fréquentation de stand de tir, je n’ai JAMAIS vu une arme en l’air JAMAIS !

      Sur ma chasse qui n’est pas une acca, nous nous déplaçons avec les armes déchargées (personne ne vient cependant vérifier) sous housse, ou démontées pour ceux qui n’ont pas d’étui ou de housse.
      Actualisation de l’article : Compte tenu des premiers commentaires reçus j’apporte plus de précision : Le reproche m’a été fait alors que j’étais posté en battue, donc immobile à mon poste, arme chargée, ventre au bois, attendant que l’animal sorte. Je ne me promenais pas la fleur au fusil…! Fin de la parenthèse.

      « Une bonne solution ne serait-elle pas de mettre un STOP TIR vendu par les fédérations: petit drapeau rouge sortant de la culasse avec une tige dans le canon, le tout en plastique, empêchant l’introduction d’une cartouche et rassurant visuellement ? »
      Première fois que j’entends parler !
      Il y a aussi le témoin de chambre vide. A condition de le trouver : https://www.welkit.com/Temoin-d-Occupation-de-Chambre-pour-calibre-5-56-Orange-Accessoires-pour-le-tir/p/4/2/563848/
      témoin de chambre vide

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