Livre OVNIS/AVNC : « 1942-1954 La genèse d’un secret d’État » de jean Gabriel GRESLÉ.

C’est un nouveau pavé dans la mare que nous offre Jean Gabriel GRESLÉ avec son nouveau livre ; « La genèse d’un secret d’état ».  Je viens de le lire.

Préface : « ils existent vraiment…? ……Bon alors…!!! ils existent vraiment ou pas…! »  😉  Entre les stations « Capitole » & « Jean Jaurès ». Juin 2013, me rendant à la présentation du livre -avant sa sortie officielle-…. de J.G Gresle.

France Culture : « Sur la route… des extra-terrestres à Toulouse »

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Présentation de la 4ème de couverture : « Deux Présidents des États-Unis ont-ils décidé de couvrir par un secret d’état les preuves matérielles qu’ils détenaient d’une présence  non terrestre sur notre planète ?
– Des artéfacts non-terrestres ont-ils aidé les scientifiques du Manhattan Project à mettre au point les premières bombes atomiques ?
– L’habilitation MAJIC concernant ces éléments était-elle, en 1947, réservée au Président, aux chefs de l’état-major et à ceux du renseignement ?
Si les nouveaux documents peu connus que l’auteur étudie sont authentiques, une réponse affirmative à ces trois questions semble inévitable. Faute de confirmations officielles, la méthode suivie est originale : intégrer les informations nouvelles dans le contexte de ses précédents ouvrages qui s’appuient, eux, sur des documents historiques, afin d’évaluer la cohérence de l’ensemble.

Cette cohérence, à la lecture, des éléments présentés, semble très convaincante.
Cependant, la possibilité que certains des documents soient des faux est clairement envisagée par l’auteur. Les conséquences éventuelles sont évaluées avec lucidité.
L’ouvrage est très clair et offre une approche nouvelle aux questions fondamentales : Sommes-nous déjà en contact avec une technologie venue d’ailleurs ?

Pourquoi et comment une information si importante reste-t-elle cantonnée à certains Services ? Faudrait-il révéler cette situation au public si elle devait être confirmée ?
Formé par l’US Air Force comme pilote militaire et officier, Jean Gabriel Greslé a poursuivi pendant quarante ans une carrière dans l’aéronautique, dont vingt ans comme Commandant de Bord à Air France. Il est membre depuis cinq ans de la Commission SIGMA de l’Association Aéronautique et Astronautique de France, dédié à l’étude des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés ».

Mon commentaire :  Jean Gabriel GRESLE  fut le seul jusqu’à présent à énoncer la véritable mise sous surveillance de la terre : l’utilisation de l’arme atomique.

Mon commentaire sur le livre : « 1942-1954. La genèse d’un secret d’État ».

J’avoue que j’aurai fait n’importe quoi pour lire ce livre avant tout le monde. J’adore cette phrase de Coluche concernant deux frères imprésarios très connus et soi-disant prêts à tout : « Ils vendraient père et mère, mais il y en a un des deux qui livre à domicile ». Je n’en étais pas encore là  mais presque !

Tout d’abord, je vais vous parler du titre du livre et des titres de livres en général.

Quand le titre du livre est bien choisi et c’est très souvent le cas, il résume à lui tout seul son contenu, avec parfois plusieurs niveaux de lecture…

« 1942-1954 la genèse d’un secret » en est le parfait exemple !

Cette histoire n’a pas commencé comme on le croit avec les observations de Kenneth Arnold qui parla la première fois d’un objet volant ressemblant à une soucoupe inversée, ni par les deux crashs de Roswell et d’autres moins médiatisés.

Cette histoire commence en 1942. Non c’est faux ! Elle commence en 1939 par cette déclaration (page 278) du général James H.Doolitle : « L’Allemagne a peut-être récupéré une soucoupe volante dès 1939. » Cette révélation n’est pas « explosive » mais « atomique » ! J’y reviendrai.

Donc le titre du  livre donne une histoire à lire qui commence en 1942 et se termine en 1954.

Personnellement, j’aurai situé la fin, neuf ans et onze mois plus tard… ! ;-(

Tous les documents déclassifiés dans le livre en vertu du FOIA, ont été formatés en français et à l’identique.

Pourquoi selon moi, l’histoire commence en 1939 et non pas en 1941 ou 1942, dates des premières récupérations  de « disques volants ». Expression militaire de l’époque avant que les journaux  ne reprennent l’image d’une soucoupe inversée de Kenneth Arnold.

Parce qu’en 1939, l’Allemagne Nazie entre en guerre et la mène jusqu’en 1945 avec de telles brutales avancées technologiques qu’elles ne peuvent pas être -selon moi- d’origines terrestres pour l’époque !

Ce n’est pas la thèse de JG Greslé c’est la mienne depuis plus de 30 ans que j’étudie cette époque sous cet angle.

J’ai gardé précieusement une émission sur cassette, d’un reportage sur PLANÈTE, consacrée aux projets secrets Allemands. Il faut avoir vu cet ancien officier de renseignements, 40 ans après, devant la caméra, déclarait : « On est entrés dans des hangars, on a vu des choses, des prototypes inimaginables, des trucs que l’on n’avait jamais vus ! » Le gars en était encore tout retourné.

L’histoire du « casque Fritz », le casque US et Otanien, qui ressemble étrangement au casque Allemand de la seconde guerre mondiale m’a fait écrire dans un article précédent  que ce n’étaient « peut-être » pas les Américains qui avaient copié les Allemands mais « peut-être » l’inverse !

Rappelez-vous ce journal Allemand qui titrait le jour de la victoire de la première guerre du Golfe : « Les Allemands ont gagnés la guerre ! ». Effectivement tous les généraux portaient des noms à connotation Germanique : Schmidt, Schwarzkopf, etc… Dans ce « Blitzkrieg » de la première guerre du Golfe, allez savoir qui a imité qui … !

Revenons en 1942. On y apprend effectivement et c’est une première dans l’histoire de l’Ufologie (documents à l’appui) que les premières récupérations d’engins « non terrestre » ont commencé dès 1941, mais n’apparaissent dans les documents qu’en 1942.

Il y a et c’est tout l’intérêt du livre, le document original et sa mise en forme à l’identique en Français. Bien sûr, l’auteur comme tout chercheur digne de ce nom, tient compte aussi d’une manipulation possible, en l’occurrence l’hypothèse de vrais-faux documents.

Sauf que tous ces documents sont issus des archives présidentielles des présidents successifs et on serait en droit de se demander le pourquoi d’une manipulation aussi énorme en documents, incluant des noms, des classifications, des dates, etc…

Surtout qu’à l’époque, personne n’envisageait qu’un président signerait un jour le « Freedom Act Information », donnant libre accès à tous les documents au-delà d’une période de 30 ans je crois et sur simple demande d’un citoyen. Ce qui a valu des procès mémorables où le tribunal donnait raison au plaignant contre l’avis de la NSA pour la déclassification d’un document, mais dans les faits, ne l’imposait pas, mais non seulement ça, classifiait immédiatement le jugement et en interdisait la publication ! C’est dire l’embarras des autorités !

Par contre, je regrette que JG Greslé ne se soit pas servi des documents déclassifiés par les archives gouvernementales Anglaises. Voir l’article : « ROSWELL : Le crash et les récupérations confirmés par les archives nationales Anglaises ! », qui  traite notamment des deux crashs de Roswell.

Ces documents sont, de par leur nature incontestable puisqu’il s’agit de documents officiels échangés entres les services US et UK, à  moins de penser qu’il existe des « humoristes gouvernementaux » au plus haut sommet de l’état. Je regrette que JG  Greslé n’en est pas fait état, ils sont téléchargeables sur le propre site du gouvernement Anglais !

Ce livre apporte aussi des révélations non pas « explosives » mais « atomiques » !

L’auteur démontre que les premiers kilogrammes de matière fissile  pour tester la bombe atomique n’étaient pas d’origine terrestre, mais avaient été récupérés  dans les épaves d’appareils « non terrestres ». Je dois dire que son argumentation technique est sans appel,  pas besoin d’être scientifique tant la démonstration est simple.

JG. Greslé démontre que que le plutonium qui n’existe pas à l’état naturel dans la nature mais qui est un sous-produit de l’uranium enrichi, au moins pour la première bombe atomique « Trinity » n’a pas pu être fabriqué de façon « conventionnelle, et humaine » compte tenu de la date de mise en service de la première centrale nucléaire.

Je voudrais souligner également « l’intuition » géniale de l’auteur concernant certains aspects : Déjà dans son premier livre, il mettait en évidence qu’au moins un des deux crashs de Roswell était  intervenu le jour anniversaire de l’Indépendance Américaine et que cela constituait « un message fort » comme on dit aujourd’hui !

Dans ce livre il a la parfaite intuition (?)  quand il parle d’un transfert de technologie vers les USA pour leur permettre de gagner la guerre contre leur(s) adversaire(s) (mais encore faut-il savoir de quels adversaire(s) on parle… !

Page 300 : « …..Il est donc possible que cet immense pays, par ailleurs libéral et accueillant, ait été délibérément choisi pour gager la guerre contre les forces de l’Axe, puis pour diriger le monde après la victoire ».

Depuis le temps que j’étudie cet aspect de transfert de technologie sous action de couverture (covert action) via des services de R&D, je n’avais jamais envisagé ce transfert de technologie non terrestre vers les US. « L’autre » transfert m’a toujours par contre paru évident !

Dans mes recherches, j’en étais resté à un « probable » deal : Stopper les explosions atomiques en air libre en échange de la technologie permettant d’aller sur la Lune et dans l’espace. Ce fut toujours pour moi une évidence !

Mais la « new frontier » ne vous affranchit pas et quelque soit votre position sociale de précautions élémentaires concernant certaines révélations publiques intempestives et improvisées !

 Page 153 : « Pourquoi le secret » : « MAJIC EYES ONLY » « ……..En conclusion, pour des raisons de sécurité nationale et de bien-être du public, les États-Unis doivent être perçus comme ayant une position dominante et tous les efforts doivent être faits afin d’affirmer qu’il n’y a pas et qu’il n’y a jamais eu la moindre menace contre notre nation. » « MAJIC EYES ONLY ».

Je voudrais terminer l’analyse de ce livre par une note tout à fait personnelle :

Pour moi, ce livre signe la fin de l’Ufologie telle que nous la connaissons et pratiquons depuis des dizaines d’années.

Comme je l’ai dit au président de la commission SIGMA, quand il a fait son exposé : « il est temps de passer à autre chose ». Il va falloir arrêter de publier et republier en boucle, documents, photos, etc., ressasser sans cesse les mêmes observations, les mêmes descriptions.

Après ce livre on ne pourra plus parler d’Ufologue mais de « paparazzi ufologue » !

Autant vous dire de suite que je revendique la paternité de cette expression ! Il faut arrêter la course au scoop, à l’image, à la vidéo exclusive avec la complicité bienveillante de nos visiteurs face à nos comportements infantiles.

Il ne faut pas s’étonner qu’il n’y est pas de manifestions publiques d’entités non terrestre : « La Terre est un jardin d’enfants ! Quand des adultes arrivent dans un jardin d’enfants, ils commencent par s’adresser aux adultes pas aux enfants !

Tous ces ufologues qui veillent des nuits entières feraient mieux d’aller veiller la nuit avec les équipes du SAMU social ou les équipes de l’Ordre de Malte, ils seraient certainement plus utiles dans la bonne marche de l’humanité !

Vous voulez tout savoir sur nos visiteurs ? Vous avez tout ! Tout est dans les livres !

Le jour où ces « adultes » décideront de prendre une initiative, ils le feront sans prendre notre avis.

Alors ça ne sert à rien de crocheter  la porte. Car forcer une porte sans l’autorisation de ses propriétaires peut vous  coûter très cher ! « Ya en a qui ont essayé….Ils ont eu des problèmes… ! »

Le premier de JG Greslè s’intitulait : (1997).

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Le livre se terminait par  cet avertissement : On parle de crash de ROSWEL : « Il est possible que le message que les visiteurs souhaitaient transmette aux autorités américaines ait été finalement très simple et très explicite, bien qu’utilisant un moyen détournée : Vous n’êtes pas confronté à une agence humaine. Vous ne pouvez pas évaluer nos possibilités, mais elles sont très supérieures aux vôtres. Nous savons que vous êtes responsables des destructions des villes Hiroshima et de Nagasaki, effectuées par votre 509ème escadre de bombardement qui est stationné à Roswell. (NDR ! L’endroit le plus secret au monde !). Votre campagne d’essais dans le Pacifique a de nouveau attiré notre attention. Nous surveillons de très prés vos recherches sur les armes atomiques. Nous connaissons parfaitement le lieu où elles se poursuivent. Nous pouvons apparaitre à vos populations où et quand nous le désirons. Si nécessaire nous pouvons faire connaitre notre présence au monde  entier ». ……. »Nous tolérons votre surarmement. Nous acceptons le fait que vous êtes la nation la plus puissante du globe. Nous n’entravons pas vos recherches et la constitution de votre arsenal militaire. Vos buts actuels ne nous paraissent pas trop ambitieux ».

Commentaire : En langage poli : « N’allez pas trop loin ! » Et cela vaut encore 60 ans après pour d’autres pays ! « ….Y en a qui ont essayés et ils ont eu des problèmes… ».

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